Etang de Naguille (texte en attente)
Aujourd’hui, cap sur les hauteurs andorranes pour atteindre le Pic de Montmalus, perché à 2800 m.
Depuis le sommet, vue à couper le souffle sur les 12 lacs des Pessons… mais nous ne nous sommes pas arrêtés là ! Curieux et motivés, nous sommes partis reconnaître 3 lacs supplémentaires, portant le total du jour à 15 lacs admirés.
En plein cœur de la canicule, c’était l’endroit rêvé : un air frais et pur, le calme de la haute montagne, et des paysages grandioses.
La descente, elle, s’est faite hors sentier, avec quelques passages techniques sur pierriers et blocs, pour ajouter une touche d’aventure à cette belle journée.
Une sortie complète : panoramas, fraîcheur et un brin de défi.
Douze isards dans la vallée des Isards, mais point d'isards à quatres pattes ce mardi en montant vers En Beys.
De belles marmottes nous accueillent autour de la cabane d'en Gaudu et grâce aux gardes de la réserve d'Orlu,nous admirons un Circaete avec leur longue vue.
moments rares.
Bière "La bien méritée " au refuge, pique nique au Gourg Gaudet, et goûter improvisé avec sieste sous les hêtres, ont agrémenté cette balade ensoleillée.
Pic de l'Har 2424m
13 isards motivés pour la montée par le GR10 au Col de la Serre d'araing puis au Pic de l'Har .
D'Eylie d'en haut 980m,nous remontons les mines de Sentein.
Petite pause à la station de rouge, point relais de la descente des bennes .
Puis un bon raidillon pour arriver au col de Catauère où nous découvrons notre cheminement en balcon qui mène au site minier de Bentaillou 1870m.
Le Pic de Canejan, le Pic Blanc du Portillon,la Serre haute de la crête frontière espagnole dominent le site .
A Bentaillou , un refuge EDF et un refuge d'une association de recherche de spéléologie, la région est percée de gouffres, comme la grotte de la Cigalère 1700m, le gouffre Martel 2165m, tous deux explorés par Norbert Casteret.
Au delà de Bentaillou ,montée régulière jusqu'à la Serre d'Araing 2222m.ou nous avons la
vue sur l'étang d'Araing dominé par le Crabère.
Et là, dernière montée de 50mn env pour le sommet .
Nous venons de faire 1450m positif !
Les sommets du Biros et bien plus encore se dévoilent sous une très belle lumière.
La grotte de la Cigalère, située sous les cabanes de Bentaillou, a été explorée pour la première fois en 1932 par Norbert Casteret, pionnier de la spéléologie française, accompagné de membres de la société d’électricité. Suite à ses explorations, la grotte a été reliée au gouffre Martel permettant ainsi de collecter les eaux des cascades souterraines et d’achever la construction du barrage de l’étang d’Araing pour la société d’électricité. Avec ses 20 km de galerie et ses 303 m de profondeur, la grotte de la cigalère a été la plus profonde de France en 1933. Aujourd’hui elle n’est ouverte que 3 semaines par an pour l’association de recherche souterraine car la Cigalère et est surtout célèbre pour son fameux « Septième Ciel », le plus riche écrin paré de concrétions de gypse de France.
Nous étions 5 ce mardi 5 août à la gare Matatbiau : un circuit atypique par la synagogue Palaprat, la caserne Niel, et le jardin Royal.
Ensuite le quartier des Carmes, l'église de la Dalbade, l'hôtel des chevaliers de Saint jean de Jérusalem, l'hôtel de Pierre.
Pique-nique au jardin Raymond VI, où le gâteau au chocolat de Françoise , les prunes de Geneviève et les bonbons aux violettes de Patrice nous régalent .
L'après-midi, le jardin japonais, Saint-Sernin et une bière place du Capitole pour digérer les 11 kms de visite sous le soleil !
Randonnée au départ de Le Port, La Foulie pour se rendre au hameau du Goutets (580m, 10km, 4h30 de marche). Nous étions 6, il faisait frais le matin et bon l'après-midi.
Après la montée via le magnifique hameau du Carol et ses granges à pas d'oiseau et via la forêt notamment de hêtres, nous avons pu admirer le hameau du Goutets où la rénovation des cabanes et orri se poursuit. C'est très beau, la fontaine est toujours là et bien fraîche de même que le Pic des trois-seigneurs. De loin, le mont Valier veille même un peu dans les nuages, et de prêt, les vaches de l'estive veillent aussi assistées de 2 borders et du berger.
Nous avons profité d'être dans la vallée pour visiter ensuite toujours sur la commune de Le Port le courtal de Peyre Auselère.
15 isards courageux se sont retrouvés lors de cette journée exigeante qui a commencé en automne et s’est terminée au printemps, pour admirer l’étang de Siscar avec les restes d’un vieux barrage en pierres, monter sur le pic de nerassol avec un vent polaire sans même profiter de tout le paysage à cause des nuages, et redescendre par l’étang de Pedorrès avant de retrouver la douceur de la vallée. Très belles vallées qui méritent d’être explorées un peu plus.
on croirait parfois entendre un torrent dans la profondeur de la forêt, mais non c'est le vent qui balaie le plateau de Sault...l'air est pur, nous marchons le regard attiré par la quiétude du paysage, mais aussi par les cailloux! Sensations de bien-être, top zen...
Les Pics du midi et sarrasis gardent leurs secrets. Roquefeuil, douce crête aux noms de troubadours, hameau de lumière où le passé sommeille.
11 isards pour cette rando sauvage dans l'Aston qui nous a permis d'admirer des lacs et encore des lacs. Du pic de Cabaillère atteint pour la pause de midi nous avons pu découvrir le fond du Quioules, totalement désert à l'exception de moutons s'obstinant à cheminer en file indienne et sous le passage des vautours en quête (vaine) d'un repas facile. Pause ensuite à l'étang de Mirabail pour rafraîchir nos petits petons devant le sommet précédemment gravi. Bel itinéraire (merci Michel pour ce choix) , fait le bon jour ( pas trop chaud et avant la pluie du mercredi)et dans une super ambiance.
7 joyeux lurons ont croisé la route de deux patous pas - tibulaires mais presque, ce qui nous a permis de rallonger la randonnée. Un temps idéal pour une marche très exigeante qui a marqué les esprits positivement et le corps légèrement.
Sous la conduite d'Anne , 16 isards courageux se sont enfoncés dans le maquis de Picaussel, à partir de Belvis, plateau de Sault...Sentier pittoresque où des éléments de Art'land nous ont guidés tout au long de ces 12 kms ( 350 D+) ; Après une présentation de ce maquis par Anne, à l'ombre du bâtiment qui avait servi de PC aux maquisards, et un déjeuner, le groupe s'est arrêté en chemin à la chèvrerie où certains ont fait le plein de fromages . Merci Anne pour cette belle randonnée.
Belle balade en principauté d'Andorre. Au menu 13 lacs dans le cirque de Pessons et un véritable jardin fleuri.
Nous étions 6 jeunes filles et deux pauvres hommes (nous avons souffert et rit aussi).
Belle randonnée avec cerise sur le gâteau, baignade offerte par la direction de la carrière dans des eaux paradisiaques.
Belle balade ou ballade aujourd'hui à l'étang d'Izourt en mémoire de Michel Sébastien. Temps mitigé le matin, puis belles éclaircies, averse vers 13h mais nous étions bien à l'abri dans le confortable refuge. Lectures de beaux textes de Michel, repas arrosé de génépi et chansons se sont succédés dans une belle ambiance montagnarde. Goûter à l'arrivée avec des produits locaux Valeur Parc.
Avez-vous lu "L'eldorad'eau" de Michel Sébastien?
Entre la Barguillère et le mont Valier 400 brebis grimpent sur les hauteurs dans une belle ambiance montagnarde.
Soleil et chaleur étaient au RV de cette journée du 10 juin, alors prendre de l’altitude a permis à 16 isards d’échapper à la canicule des vallées, même s’il a fallu transpirer pour monter au pic des 3 seigneurs en passant par l’étang bleu. Mais le panorama à partir de ce beau belvédère a récompensé nos efforts et un pique-nique reconstituant nous a redonné de l’énergie avant la descente raide vers le col de la Pourtanelle et la cabane rouge. Enfin, le retour par la forêt a pu nous protéger de la chaleur de cette belle journée.
Tarbésou
La cascade d’Ars était magnifique et sous un beau soleil ! Huit isards ont fait la grande boucle, bien photographié ce décor somptueux et sont arrivés bien affamés à l’étang de Guzet. Après une longue halte les pieds dans l’eau ils sont descendus jusqu’aux voitures avec le soleil jusqu’au bout (pour une fois)
Connaissez vous les étangs de Madides? C'est dans la vallée du Nabre tout droit au fond. Le long du GR10 c'est beau, lorsqu'on le quitte c'est TRES beau. 4 lacs enchassés dans les rhododendrons avec la neige pour finir...et une météo pile poil clémente. Les animaux sont restés discrets (les truites surtout qui ont eu peur) mais les panoramas ont comblé ce manque.
La sortie aux cascades de Fouillet, puis le cirque de Casierens et retour par la station de Guzet neige. Très belle randonnée D+1000m et 13kms, Nous étions 14.
Aujourd'hui, point de guide pour accompagner le groupe, mais une guide conférencière Dominique, qui nous a initié à l'architecture romane. Départ d'Ornolac pour la découverte des chapelles accessibles uniquement à pied. Après une montée dans la forêt, voilà l'église de Lujat, partiellement démolie, qui trône au milieu d'une prairie. Des campanules poussent sur la voute? Oublié des hommes l'endroit respire la sérénité et le hameau abandonné montre que la montagne était habitée. Un chemin bordé par des tapis de gentiane de Koch nous mène au col d'Ussat et plus loin à la chapelle d'Arnave. Dominique nous fait un historique du lieu, et documents à l'appuinous montre les secret de l'art roman. Le pique nique est le bien venu et les 13 isards repartent vers le col d'Ussat pour grimper ensuite sur le Clot de Carbonnières. La vue est superbe sur la vallée de l'Ariège et la ville de Tarascon, le Mont Calm, le pic des Trois S et la Pique Rouge de Bassies. Le sentier en soulane nous ramène au point de départ où nous découvrons l'église d'Ornolac."
La sortie flore entre Leychert et Roquefixade nous a permis de découvrir tout au long du chemin 17 espèces d'orchidées différentes dont l'orchis intact que personne dans le groupe n'avait jamais rencontré. Journée ensoleillée avec pique nique et vue plongeante sur le château, que du plaisir.
9 isards optimistes (ou qui n’avaient pas regardé la météo) sont partis de bon matin par un temps superbe. La montée au Scaramus et au pic Fourcat fut rude mais le point de vue sur la chaine nous a bien récompensés de nos efforts. Après ce fut une promenade dans les prés et la forêt. Certains promeneurs ont beaucoup vagabondé et sont rentrés bien chargés et un peu mouillés car la pluie nous a rafraîchis juste avant l’arrivée aux voitures.
La course d'orientation: Tu regardes la carte, tu traces un plan dans ta tête, tu te sens comme Indiana Jones. Tu crois viser le Nord mais tu finis dans la broussaille pour arriver au refuge... Mais l'essentiel est là! Tu l'as trouvé.
A sa porte, tout le monde écoute religieusement le président des Isards qui demandent aux animateurs de relater leurs soucis ou leurs idées quand au programme des randonnées. L'apéro des plus joyeux et le pique-nique englouti, la remontée est difficile quand les estomacs sont pleins. Mais il est certains que par cette belle journée d'avril les jambes aiment gambader. Notre cher Jean-Claude a voulu nous initier à l'art du bâton de berger. tout commence par le choix du bâton ensuite vient la technique. Les débutants tapent le sol, les initiés le plantent fièrement. C'est le compagnon fidèle qui t'aide à grimper, à descendre en t'enroulant autour et à garder l'équilibre. Mais surtout il donne du style...
"Parce qu"au fond je pouvais marcher sans...mais j'avoue avec le bâton j'avais l'air 10 fois plus aventurière!" (Coco)
Randonnée printanière au Mont Ceint- entre neiges tardives, flore et bouquetins chanceux.
Ce lundi, superbe randonnée au Mont ceint, en partant de Coumebière, accessible depuis le Port de l'Hers. Un itinéraire classique mais toujours aussi magique, surtout en cette période de l'année !
Dès 1700 mètres, la neige s'est invitée sur notre parcours, ajoutant une touche d'aventure à la montée. Malgré le blanc encore bien présent, la flore printanière était elle aussi de la partie : gentianes, hellébores, saxifrages et autres fleurs courageuses perçaient la neige pour nous rappeler que le printemps est bien là, même en altitude.
Cerise sur le gâteau ? une rencontre avec des bouquetins lors de la descente.
Et comme toute bonne randonnée mérite sa récompense, nous avons terminé cette belle randonnée dans une ambiance chaleureuse et gourmande.
Le Mont Ceint porte bien son nom : il ceint notre cœur de souvenirs précieux !
22 isards se sont retrouvés au départ de Goulier tôt le matin, sous un ciel clair et prometteur. Les premiers rayons du soleil caressaient les sommets enneigés, offrant un spectacle à couper le souffle. L'air était vif, chargé des senteurs de la montagne, et chaque inspiration semblait purifier nos poumons.
Après une rude montée, le pic de Risoul, gardien silencieux de ces contrées sauvages, nous a accueillis avec une vue imprenable sur les cimes enneigées et les vallées verdoyantes. Là-haut, le vent soufflait des mots que seuls les montagnards peuvent comprendre, des mots de liberté, de respect et de communion avec la nature.
La pause repas à Goulier Neige avec des tables installées au soleil printanier. a été un moment de partage créant une symphonie unique, celle de la passion pour la montagne.
Le retour vers Goulier s'est fait par un sentier différent, offrant de nouvelles perspectives sur la vallée. La descente a été plus douce, permettant de profiter pleinement des derniers kilomètres de la randonnée malgré un passage à gué compliqué et quelques mouillères.
Un grand merci à tous les participants pour leur bonne humeur et leur détermination pour ce périple de 11 kms et 700 D+.
PS. Comme j'ai du mal avec l'intelligence naturelle, ce commentaire a été rédigé grâce à l'intelligence artificielle Mistral et l'inspiration de Roger Frison Roche.
Ce mardi 1er avril, jour de poisson, après un passage à la cabane rouge de la vallée de la Courbière, le blanc s'est imposé pour nous faire mettre les raquettes et gagner le Cap de la Dosse par une petite traversée où Véronique a définitivement vaincu sa phobie des pentes raides. Repas au sommet dans les 10m2 d'herbe à l'abri du vent puis bouclage par la face sud après une petite séance de bronzage face au cirque d'Embans.
Qui a dit qu'il n'y a pas de neige dans les Pyrénées ?
Au sommet d'un monde aux échos silencieux,
Trône Montségur, fier et mystérieux
Château des vents, gardien des cieux,
Tu portes les secrets des temps périlleux.
Tes pierres ont vu les pas des Cathares,
Leurs chants, leurs pleurs, leurs espoirs rares.
Assiégés par le feu, par la foi des épées,
Ils sont restés debout, sans jamais plier....
Ton nom résonne encore plus fort que la loi
Et nous avons grimpé ton sentier d'honneur
C'est une belle journée dont 19 isards profitèrent pour faire la boucle au pic de l'Estibat, et de belles glissades sur la dernière neige.
31 Isards se sont retrouvés dans le village méconnu de Quié, Céline, notre animatrice, a fixé le rendez-vous sous l'horloge mais pour l'apercevoir il faut bien lever la tête. Visible sur un rocher elle surveille le temps qui passe sur ses 298 habitants. La randonnée débute par une belle montée pour arriver au plateau de Génat. Là, un petit jeu nous attendait: "où se trouve le tumulus de la plagne?" Tel un jeu de pistes, nous l'avons trouvé caché sous un tas de cailloux au milieu d'un champs. Le pique-nique plutôt luxueux car certains ont pu bénéficier de tables et bancs. Ensuite la descente avec en visuel l'entrée de la grotte de Niaux puis un petit tour à la grotte de la vache fermé à cette époque. Très jolie randonnée de 11,5kms avec D+580m. Merci Céline de cette découverte.
nous nous sommes retrouvés un groupe de 11 randonneurs pour un A/R au Bourbourou, 1400 m +, 20 kms. Belle sortie ensoleillée, neige encore suffisante dans la forêt et sur le plateau final . Tout le groupe a atteint l'objectif fixé. Bravo !!
Le soleil a encore régalé 22 isards ce mardi 18 février. Nous sommes partis de Cabus (saurat) et passés par les charmantes maisons de Stables, (où nous nous sommes interrogés sur la raison de la présence de sac de laine au pied de jeunes arbres ; réponse en enregistrant le lien suivant: https://www.promhaies.net/news/degats-chevreuil-protegez-vos-plantations-avec-de-la-tonte-de-mouton,14383/ ). Puis nous sommes sortis de la forêt et avons rejoint le rocher de batail après une dernière pente raide. Après un pique nique devant un magnifique panorama, le GRP du tour du pic des 3 seigneurs nous a ramené à Cabus après avoir parcouru 10.5 km et 800 m de dénivelé.
Nous étions douze randonneurs pour aller au Mont Fourcat. Le beau temps était au rendez-vous. Balade toujours appréciée des isards.
15 montagnards ont participé à la sortie du 11 février. 1100m positifs cumulés; les plus vaillants sont même allés jusqu'au cap d'Escot. Plein sud donc neige presque inexistante ...!! et le goûter au retour aux voitures a été apprécié. Ambiance conviviale.
22 isards sont sortis de leur hibernation en ce jour de grand soleil pour s’élancer avec vaillance et bonne humeur à l’assaut du rocher de Scaramus et du pic Fourcat d’où le regard porte loin sur les sommets enneigés environnants. Le soleil avait déjà bien fait fondre la neige sur le versant sud de l’ascension qui s’est faite du coup sans avoir besoin des raquettes. Un petit vent frais au sommet nous a contraint d’entamer la descente vers le col du rocher de Mounegou pour se mettre à l’abri, mais cette fois nous avons pu gouter au plaisir des raquettes dans la neige poudreuse. Après le pique-nique au soleil, une petite descente raide, que certains ont choisi de faire en mode luge à défaut d’avoir gardé les raquettes, nous a amené dans une alternance de paysage forestiers et d’espaces ouverts qui nous ont permis de profiter encore de la poudreuse et d’admirer le chemin parcouru sur les crêtes.
23 randonneurs sont partis visiter quatre villages de la route des corniches autrefois très peuplés. Aujourd’hui il y a plus de résidents secondaires que d’habitants à l’année mais les villages ont gardé leur charme et on y voit les traces de l’activité agricole intense du 19e siècle, beaucoup de terrasses et quelques orris.
Le soleil était bien chaud dans la montée sur Axiat et son église romane, sous la surveillance du château de Lordat.
Après Appy notre soleil a bien faibli et nous avons emprunté les petits sentiers bien agréables pour aller pique-niquer à Caychax, très accueillant.
Puis aller-retour à Senconac et arrivée aux voitures avec la pluie mais ,ouf, nous étions arrivés !
Conditions hivernales parfaites ce mardi 21 janvier pour tenter de gravir la très difficile face est du pic de Bourbourou au dessus de la vallée de Savignac.
19 isards ont joué le rôle de sherpas, mules et autres yacks pour monter un camp 1 à la cabane de Giryes puis un camp 2 à la cabane de Sorgeat. De là, après avoir consulté notre routeur météo annonçant un retard de la perturbation en soirée , les plus valeureux de l'expédition partirent pour monter un camp 3 à 1900m d'altitude et lancer Yvan et Francis vers le sommet atteint vers 14h.
Bravo à tous les participants pour cette nouvelle grande réussite hivernale des isards de la Barguillere.
Le rendez vous est donné devant la grotte du Mas d'Azil. Nous la traversons à pied pour rejoindre le sentier de la croix puis celui des pierres. Le terrain est boueux et un peu collant mais la vue est magnifique au sommet de la croix. Deux accompagnants du club du Mas d'Azil nous font découvrir les sculptures en pierres, le chemin est apaisant avant de rejoindre la grotte, la seule en Europe que l'on peut traverser en voiture.
Trente Isards ont bravé le froid, qui depuis une dizaine de jours s'étend sur la Barguillere, mais le soleil brille et un vent de sud-ouest balaie les crêtes du Couserans.
La belle fresque, peinte sur un les murs de la colonie nous invite à scruter si un cerf ou une biche ne se cachent pas dans les bois, voire un grand tetras.
Une petite grimpette nous mène au col de la Serre et plus loin au col d’Uscla.Pas de cèpes en ce moment.
Les balises rouges et jaunes récemment repeintes par nos baliseurs, nous accompagnent jusqu'au nouveau chemin, et là, la neige dure ,et la glace vive nous barrent le chemin.
Demi tour et nous rejoignons la crête jusqu'au sommet. Waouh, quelle vue aujourd'hui, du Carlitte au Pic du Midi de Bigorre, nous contemplons la haute chaîne vers le Sud et la Barguillère ,Foix et son château avec en toile de fond la Montagne Noire, loin vers le Nord.
Descente vers le petit col sous le Cap du Carmil pour se mettre à l'abri du vent.
Déjeuner au soleil et descente par le même chemin vers le col des Marrous.
Bienvenue aux deux nouvelles, Karine et Claude qui ont parfaitement suivi le rythme isardesque.
Dans la descente du col, devant la voiture, deux biches sont venues nous dire au revoir .
Waouh a été le mot le plus souvent prononcé pendant la randonnée. Effectivement le temps nous a été favorable. Superbe vue sur les sommets enneigés. Nous avons traversé les villages de Treziers, Lagarde et Roumengoux, tous avec beaucoup de charme. Bref une belle journée !