Jeudi 14 Août, 3 Isards rejoignent leurs 2 animateurs et leur famille devant la salle des fêtes de Montjoie. Donc, 9 randonneurs entament cette sortie devenue traditionnelle pour le Tuc de Montcalivert. L'orage de la veille a bien fait baisser la température.
Et, c'est avec la fraîcheur matinale qu'ils retrouvent la Chouette qui surveille l'entrée du lieu-dit La Hajolle. Une grimpette à travers bois les mène à la croix du Montcalivert. Le seigneur Valier s'impose sous leur regard avec toute sa cour et un beau ciel bleu.
Le pic du midi de Bigorre est timide, certes. 250m de dénivelé en 1 heure. Un coin à l'ombre les invite une nouvelle fois à se regrouper pour le pique-nique. Les conversations vont bon train, une légère brise les accompagne et c'est avec regret qu'ils quittent ce havre de paix.
Une photo devant la croix et ils entament cette descente un peu rude avec toujours cet air frais; mais surtout en musique !!!!
Qu'écoutent les jeunes de 15 ans ? Édith Piaf, Joe Dassin, Michel Sardou, France Gall .... Les moins jeunes se régalent. En 45mn pour 2km200, ils sont devant leurs véhicules et à 14h, ils sont tous rentrés chez eux.
Jeudi 7 août, c'est une organisation spéciale ;
7 Isards partent pour Salies du Salat en prenant au passage Christiane. Ils se garent devant le Casino, non pour jouer mais pour emprunter depuis la gare la voie verte jusqu'à la route de Touille. Le chemin est large goudronné et herbeux, de plus bien ombragé. I
ls arrivent ainsi devant la voiture de Christiane qui emmène les 2 conductrices à Salies. Pendant ce temps là, le reste de l'équipe part vers l'aire de pique-nique de lac de Touille. Finalement, tout le monde se retrouve au début du tour du lac qui scintille de mille feux.
L'an dernier, personne n'avait été qualifié pour les JO de Paris. Alors, de nouveau, ils s'entraînent au saut de haies, aux barres parallèles et j'en passe sous le regard attentif des arbitres.
2 sont aptes aux présélections des prochains JO !!! Et, les voilà au bout de 2h25 en train de s'installer pour le déjeuner avec apéro, café et cookies au chocolat. Ils ont fait plus de 6km avec un dénivelé de 12m, cumulé bien sûr. 2 invités s'étaient joints à eux pour partager ce moment de rigolade.
Jeudi 31 juillet, le temps est vraiment incertain, mais la sortie est maintenue.
10 Isards partent vers la plaine après le Mas d'Azil pour le tour du lac de Filheit. Depuis le parking, ils partent par le chemin de Compostelle en s'enfonçant dans les bois.
La température est idéale pour la randonnée et en plus ce paysage bucolique, reposant voire zen les enchante. Ils passent sur une première passerelle en bois.
Elle est solide !!! Ce lac présente de nombreuses sinuosités et chacune les invitent au farniente digne d'une belle crique où le naturisme serait roi. Oh mais Sophie, tu n'as pas la tenue adéquate !!! Ils continuent leur chemin parfois boueux en passant sur d'autres passerelles. Une vue dégagée et les voilà à longer les clôtures et les berges pour rejoindre le barrage et se retrouver au point de départ. 8km400 en près de 3h et hou là là 82m de dénivelé !!. cumulé !! Ah oui quand même ! Vite, vite sièges et glacières sortent des véhicules et ils s'installent au bord de la mer que dis-je au bord du lac.
Ils admirent tout en déjeunant les prouesses des poules d'eau qui vont faire leur marché.
Et, ils comptent 1, 2....18, elle sort avec un poisson dans son bec . YES ! Une autre plonge, elle tient 8s et ressort bredouille !!! Le soleil fait timidement son apparition mais il faut partir.
Jeudi 24 juillet, il est 8h. 10 Isards, après quelques hésitations au vu du crachin du moment, se décident à partir et se retrouvent près du hameau de Fréchendech (810 m).
Ils suivent le sentier qui longe le ruisseau de l'Izard, passe quelques granges et s'élève doucement. Nos Isards empruntent une passerelle où de l'autre côté, le chemin amorce une rude mais courte montée. La brume se transforme en brumisateur alors ponchos, K-Way, parapluie sont de sortie !!! La température reste douce. Ce sentier est ensuite large et la montée agréable les conduit vite à la fontaine “Escudié". Plus loin, vers 1100 m, ils arrivent à une autre passerelle qu'ils franchissent les uns après les autres pour rejoindre la rive gauche du ruisseau Des éclaircies les ravissent, surtout en voyant un rayon de soleil à travers les arbres .
Waouh ! quel génie, quelle fée va en surgir? Bientôt, ils débouchent dans une prairie et en quelques minutes ils sont en vue de leur objectif du jour : la chapelle de I'lzard (1320m).
En 2h10, ils ont franchi 49Om de dénivelé en 5km. Cependant, ils se hâtent de se mettre à l'abri dans le refuge derrière cette chapelle. Il est 11h15 !!!
Qu'importe pour ces lève-tôt ! Ils s'installent autour de la grande table, le pastis circule et le premier service commence. Les conversations vont bon train mais le deuxième service arrive et ils quittent à regret cet endroit bien sec bien que Michel n'ait pas fini son café !!!
Un dernier regroupement et c'est la descente par le même chemin où le parapluie devient parfois ombrelle ! Ils ne vont pas se quitter si tôt. Un arrêt à Castillon clôture cette belle journée.
Jeudi 17 juillet, 8 Isards partent à 9h vers le massif de Sourroque. Pas un nuage à l'horizon ! Ils se garent à un croisement après la cabane des chasseurs de Ouerdes.
Ils descendent un peu la piste pour monter sur un sentier très ombragé ce qui est bien agréable en ce moment. Ils contemplent cette belle doline herbeuse de Trémau (dépression fermée de forme circulaire), puis continuent sur ce même sentier qui les mène sur une route. Ils cheminent le long des près au milieu d'un site reposant et surprise une bardane ! Qué za ko ? Et, les souvenirs d'enfance reviennent !!!!
Ils en prenaient les fruits et les lançaient sur leurs camarades. Parfois ces petits fruits restaient accrochés sur les vêtements de la cible choisie. Jeu de la balle collante ou du bouton de pompier. La rigolade assurée !!! Ce sont toujours des enfants !!! Maintenant, les choses sérieuses : ils retrouvent le paysage fantasmagorique avec toutes ces pierres moussues et cette lumière tamisée qu'ils aiment bien. La température est toujours aussi clémente sous ces hêtres. Après plusieurs douces montées et douces descentes, ils font un crochet pour apercevoir l'entrée du gouffre de Dégaudez. Ils se tiennent sagement derrière la barrière.
Peu après ,ils enjambent un câble.
Que fait-il ici? Ils vont jusqu'au Plagnol de la Plagne où un panneau explicatif les informe que jusqu'en 1967, la forêt était exploitée par câble entre le Plagnol et le hameau du Parrat.
Enfin, ils marchent tranquillement sur la piste qui les ramène aux véhicules. Ils vont à l'aire de pique-nique avec ces belles tables de marbre qui les attendent. Il est midi trente : c'est l'heure de l'apéro sauf qu'il n'y en a pas !!! Après une balade de 7km300 avec un dénivelé cumulé de 230m qui a duré près de 3 heures, ils partagent alors un bon moment de convivialité tout en dégustant les prunes de Patrick.
Jeudi 3 juillet, 10 Isards se retrouvent à Caumont. Le temps est nuageux mais la température est agréable et même fraîche. La petite laine ne serait pas superflue !!! Il est vrai qu'il est à peine 9h15.
Les choses sérieuses commencent en prenant les véhicules pour éviter une marche fastidieuse et un dénivelé important. Après la photo du groupe devant la cabane des chasseurs, ils montent par un chemin large, convivial, chemin au bord duquel, ils devinent une carcasse de camion .
Y en aurait-il d'autres ? La végétation est si dense. Ils passent près du hameau de Gèle et sont sur une route vraiment très peu fréquentée.
Ils bifurquent dans un bois où par moment, des trouées leur permettent d'admirer le paysage, notamment, l'aérodrome d'Antichan avec Saint Lizier au fond. Une belle surprise les attend : une cabine téléphonique !!! Un barbecue sur 3 roues, ne parlons pas du reste, tentes éventrées, chaises retournées ... C'est un peu dommage de voir cette nature vandalisée. Une descente sur un terrain schisteux avec des galets ralentit le rythme. Ils passent devant un centre équestre et arrivent ainsi au-dessus du stade de Caumont.
Un chauffeur emmène les chauffeurs à leurs véhicules restés au départ et tout le monde se regroupe autour de la table pour un pique-nique animé et festif. Bon anniversaire, Chantal qui les a régalés avec des macarons. Cette balade de 7km faite en 2022 avec un dénivelé de 160m a duré 2h20.
Ce jeudi 26 juin, 16 Isards se retrouvent à Seix vers 9h30. Ils déambulent dans les rues de ce village pour prendre le chemin des Lannes.
Le temps est couvert ce qui est bien agréable après la chaleur de ces derniers jours. Ils montent par une route forestière puis empruntent une sente bien tracée au milieu des herbes. Quelques montées, quelques descentes enfin une dernière montée et une longue descente les amène devant le village de vacances de la Souleille, village abandonné depuis quelques années.
Une courte bruine les accompagne ! Ils terminent la balade à la croix de Seix d'où ils ont une vue magnifique sur le château et le clocher-mur de l'église. Ils traversent de nouveau le pont sur le Salat après une balade de 7km avec un dénivelé de 240m qui a duré 2h40.
Il est midi bien sonné et ... que font-ils? Comme chez nos ancêtres les Gaulois, tout se termine autour d'une grande table. Où ? dans le jardin d'Huguette et de Julien où les attendent 3 autres Isardes. Merci à nos hôtes qui nous ont offert un grand moment de convivialité avec apéro, fromage et crêpes, le tout bien arrosé !
11 Isards se retrouvent à 9h pour aller à Cazavet. Eh oui, l'horaire estival est d'actualité.
Ils longent le lit de la Gouarège , actuellement complètement à sec.
Il est vrai qu'à Cazavet, elle se perd et ressort plus loin près de Prat. Ils arrivent à Hider, montent alors sous une voûte de troncs d'arbres recouverts de mousse. C'est magnifique avec les rayons du soleil qui filtrent à travers les branches !
À leur gauche, le ruisseau Hider dévale la pente de cascades en cascades pour leur plus grand plaisir. Vont-ils se baigner ? Nenni, ils n'ont plus 20 ans !! La température est clémente à peine 28° et une légère bise les accompagne. La lente montée s'achève sur un pont de pierre qui enjambe ce ruisseau et les voilà sur la route.
Où vont-ils? À gauche, c'est plus court ou à droite, c'est plus long ? Devinez : à droite. Ils suivent la route qui longe de grandes prairies en jachère. Et, surprise : sur leur gauche un parterre d'orchis blancs !
Enfin, ils suivent un chemin qui descend et reconnaissent au bout une drôle de maison récemment restaurée, Le Baus. Puis c'est l'arrivée à Cazaux.
Quel changement de végétation entre la montée et la descente ! Ils sont de retour sous la halle et vite, vite chaises, fauteuils et table sortent des coffres comme s'ils allaient à la plage pour pique-niquer. Repos bien mérité après une randonnée très ombragée de 8km300 avec un dénivelé de 240m qui a duré 3h en tout. Et, ils discutent comme à l'accoutumée jusqu'à 14h30 !!!
Par ce bel après-midi de ce jeudi 12 juin, 12 Isards entament d'un pas alerte la boucle faite en janvier 2020, boucle partant de l'église de Moulis.
Traversant le Lez, ils envient ces jeunes qui sautent du pont. Ce n'est plus de leur âge !!! Une petite montée les fait passer devant la mairie où il y a une sculpture de marbre d'Aubert "Andrea". Ce marbre prestigieux est noir et blanc; ses tonalités créent un contraste très net, qui n’est présent dans aucun autre marbre aux mêmes couleurs. Ils continuent leur montée en longeant le château de Moulis, puis celui de Liqué où ils admirent la surface impressionnante de toiture en ardoises de tailles dégressives.
Ils laissent sur leur droite un sentier qui mène à l'entrée d'une grotte utilisée par le CNRS pour leur travaux. Un petit crochet dans Goué d'en Haut leur permet de voir une maginette.
Le mot « maginette » vient du mot « image », il est le terme local pour désigner un oratoire où est nichée une statuette représentant un personnage religieux. Après Goué d'en Haut et Goué d'en Bas , ils quittent la route pour prendre un chemin qui monte vers le château du Pouech. C'est la tournée des châteaux !!!
Une sculpture de marbre en forme de coquille Saint Jacques trône près du cimetière.
Et, c'est la descente par le chemin de Compostelle, ils traversent un pré puis la route de Castillon pour de nouveau enjamber le Lez et enfin un arbre, des bancs les accueillent pour le goûter et la causerie tout en appréciant les cerises de Michel.
La balade a duré 2 h sur un parcours de 5 km 700 avec un dénivelé de 150 m et comme d'habitude avec de la bonne humeur, d'autant plus qu'un petit air frais les a accompagnés pendant une partie du périple.
13 Isards se retrouvent sur le parking de la salle des fêtes de Gajan. Contents de ce temps printanier inespéré, ils s'élancent sur le chemin longeant un ruisseau qu'ils franchissent laborieusement. Il est vrai qu'il a beaucoup plu ces derniers jours. Un cheminement dans un sous-bois les mène sur un plateau avec une vue à 360° après être passés près d'une épave d'estafette taguée. Que fait-elle encore ici? Les sommets sont un peu dans la brume. Ils traversent Chaumarti d'en Haut. Ils entament la descente tout en empruntant un autre sous-bois avec des parterres d'orchis pyramidal au milieu desquels ils voient des ophrys abeille et même un sérapia lingua et un orchis bouc. Pour finir, ils suivent le chemin de la fontaine Raufaste qui aujourd'hui nous offre 2 jolies petites chutes. Ils retraversent un pré afin d'éviter de s'embourber ! Ce circuit de 6km500 a duré 2h45, pauses comprises, avec un dénivelé de 200 m. Et, maintenant place au goûter offert par Patrick, fraîchement promu d'une année de plus.
Ce mercredi 22 mai, 11 Isards partent d'Alas; une ancienne photo les interpelle et cent après, ils refont la même !!!
Rien n'a changé !
Ils arrivent à Arrout, charmant village qu'ils ont déjà traversé 2 fois mais en début d'année. La floraison d'un magnifique rhododendron les époustoufle. Le lavoir aussi et ils s'y installent le temps d'une photo. Ils passent devant La Maraude : colonie de vacances privée. Puis, c'est la descente dans une végétation luxuriante avec palmiers, bambous, bégonias géants ....
et au milieu un orchis pyramidal ! Ils rejoignent la route, font un détour pour voir la centrale hydroélectrique qui alimentait le tramway de la ligne de Saint Girons à Castillon et à Sentein, ligne qui a fonctionné de 1911 à 1937.
Une dérivation du Lez entraînait des turbines par une chute d'eau de 18,25m. Ils traversent une première fois la route St Girons-Castillon, font un arrêt "achats" à la fromagerie de La Core et retournent tranquillement à Alas par l'ancienne route de Cescau, ils retraversent la départementale.
De retour aux voitures, c'est le goûter : les uns assis sur le parapet, les autres autour de la grande table. La balade de près de 6km avec un dénivelé de 175m a duré 2h30 et quel beau temps ils ont eu !
Ce mercredi 15 mai, 20 Isards partent à la découverte d'un hameau perdu au-dessus de Castelnau-Durban : Sabart. Un projet de zone blanche sans radiation électromagnétique est envisagé en réhabilitant ce hameau abandonné de la vallée de l'Artillac pour des personnes électro-sensibles.
Ce projet est structuré par l'association «Zone blanche en vallée de l'Artillac-Ariège» siégeant sur la commune d'Esplas de Sérou.
Nos Isards arpentent vaillamment la piste forestière tout en ramassant des fraises des bois. Le ciel est couvert, seul un gros nuage noir leur fera peur puis c'est l’embellie avec un soleil rayonnant. Ils arrivent enfin à Sabart et les voilà transformés en découvreurs-explorateurs de la forêt primaire !!!
En l’occurrence, une forêt d'orties ! Ils découvrent alors une cité perdue avec des murs encore intacts, un abreuvoir, un four à pain ... La vie s'y est arrêtée. Émotion !
Le retour se fait par le même chemin et ils s'installent sur la piste comme sur la plage avec tables, fauteuils, pliants .... pour le goûter traditionnel. Ils le méritent bien : la balade de 8km500 a duré 3 heures avec un dénivelé de 250m. Il faut compter la visite et l'exploration des ruines !!!
Ce mercredi 7 mai, 5 Isards de Saint Pierre se sont joints à 16 Isards de Saint Girons et leur invitée pour une découverte pour certains d'entre eux du paysage depuis la crête de La Serre et surtout chercher, trouver et reconnaître les orchidées.
Après avoir vu la loupe de l'orme Sully, planté du temps du duc de Sully en 1600 et mort en 1990 (l'orme !), ils reprennent leurs véhicules jusqu'à Saraillès où un parking aménagé les attend ainsi que la propriétaire des lieux du gîte.
Contents de se retrouver ou faire connaissance, ils empruntent la piste qui longe les près. Les Pyrénées sont timidement encapuchonnées.
Aujourd'hui, le panorama est aussi à leurs pieds : une myriade de couleur avec des orchis qui se pavanent au-dessus des autres plantes.
Et, quelle joie à la vue du premier orchis mario ou bouffon et un petit parterre de sérapias, lequel parterre deviendra important au grand dam de certaines ne sachant plus où poser leurs pieds ! Ils admirent des bouffons de couleurs variées du violet au pourpre au lilas rose voire au blanc, des sérapias à longue tige, des orchis brûlés, des céphalantères à fleurs blanches et cerise sur le gâteau un orchis de Fuchs.
Demi-tour pour tout le monde et ils s'installent pour le goûter au bout de 2h20 dont 25 minutes de pauses !!! après 5km500 et 125m de dénivelé. A l'année prochaine pour d'autres découvertes. Il y en a tant à faire !
Ce mercredi 30 avril, veille du 1er mai, 19 Isards se sont réunis près de l'église d'Unjat. Ils attaquent une courte montée par un sentier à travers bois, lequel sentier débouche sur une prairie. De zigzag en zigzag, ils atteignent le sommet couronné de 2 antennes. Quel beau temps et quelle vue de part et d'autre : à droite, la chaîne couserannaise avec le sieur Valier, à gauche, la plaine à perte de vue et à leurs pieds des taches de verdure du golf d'Unjat. Mais oui, ils vont en faire le tour, objectif de la balade. Ils empruntent soit une piste soit une route asphaltée et les voilà qu'ils aperçoivent des golfeurs. Une photo devant un green avant d'assister à une démonstration de swing par Robert. Avec Josée, ils inventent une nouvelle règle : départ à 2 avec 2 clubs !!!! Des points d'eau leur permettent de se ravitailler en eau et en plus elle est fraîche. Ils longent un parcours sur l'herbe bien tondue avant de retrouver un sol plus dur. Devant eux, l'église qui annonce la fin de la randonnée au bout de 2h20. Ils ont parcouru 5km800 avec un dénivelé de 185m. Et, maintenant .... Goûter sur l'herbe !!! tout en savourant cette température presque estivale. Ils savourent aussi les gâteaux !!!...
9 Isards de Saint Girons et une invitée se rendent en voiture à Lafitte, situé après le calvaire au-dessus de Castillon en Couserans. Ils entament une boucle de 5km450 en empruntant la route puis un petit chemin qui s'élargit en arrivant à Idrein. Pour certains, c'est une première, ils tombent amoureux de ce hameau !!! Le petit cimetière jouxtant la chapelle de 1744 est toujours émouvant dans sa simplicité. Photo devant le lavoir et les voilà sur une montée qui les mène à une route , laquelle route serpente au milieu d'un paysage bucolique; ils retrouvent leurs véhicules au bout de 2h20. Le dénivelé cumulé est de 270m. Un poteau téléphonique couché et de plus tout végétalisé leur offre un banc confortable pour le goûter offert par Sylvie. Merci et bon anniversaire.
10 Isards en ce jeudi 17 avril se retrouvent à Montgauch. Ils empruntent un large chemin propice à la conversation, bordé de noyers et situé sur une crête qui leur permet d'avoir la vue des deux côtés.
Ils admirent toutes les nuances de vert qui annoncent le réveil de la nature en ce jour de printemps.
Puis, ils traversent un pré avec une belle vue sur Cazavet et sur la butte où se trouvent les ruines d'un castrum. Ils virent de bord et après quelques passages sous les fils de fer retrouvent une route goudronnée avec vue sur Montgauch.
Au passage, ils cueillent une belle poignée de respounchous. Ils passent par l'église de Montgauch du XIème siècle avec une corniche extérieure inspirée des bandes lombardes.
Les fresques étaient en restauration lors de leur passage en juillet 2022. Manque de bol : c'est fermé. Ils retournent à leurs véhicules après une boucle de 6km500 avec un dénivelé de 100m qui a duré en tout 2h25. Ils s'installent à une table ; chocolat chaud et cidre agrémentent ce goûter bien mérité.
Jeudi 10 avril : 18 participants partent du stade de Lescure. La température est idéale pour randonner, le soleil les accompagne. Ils empruntent tout d'abord la voie verte et avant Baliard, ils montent sur la route qui les mène à Canou, un îlot de quelques maisons puis à Millastre où une pause photo s'impose.
Un sentier monte sur la gauche à travers un sous-bois charmant qui les mène à Flourit. Paysage magnifique et quel bonheur de s'allonger sur l'herbe !
Un rhinante crête-de-coq attire leur regard. Ils redescendent par Picaret et Legret et objectif en vue au bout de 2h30 après 6km600 avec un dénivelé cumulé de 220m . Le goûter dans l'herbe !!! Monet n'est plus là pour immortaliser ce bon moment.
Jeudi 3 avril, 21 Isards se retrouvent au parking d'Intermarché du pont de Baup. I
ls attaquent avec ardeur la grimpette du talus pour rejoindre la route puis le chemin qui va les mener devant la cathédrale de Saint Lizier..
Ils traversent le haut de Saint Lizier tout en admirant les maisons à colombages et descendent tranquillement par un sentier ombragé et surtout abrité des quelques rafales de vent. La plaine est bien verte à leur gauche avec les Pyrénées au fond et même le sieur Valier. Une photo devant la grille du château Montredon.
Et, nos Isards gambadent et un coup à gauche et un coup à droite au-dessus d'un ruisseau pendant une centaine de mètres !!! Ouh là là ! Un buffle !!!
Leur fougue se calme jusqu'à la salle des fêtes de Gajan où les attend le goûter traditionnel et bien entendu, les conversations vont bon train.
C'est une balade courte de 5km avec un dénivelé de 85m qui a duré à peine 2 heures. Maintenant, quelle énergie pour remonter dans les véhicules !!!
Ce jeudi 27 mars, 19 Isards se retrouvent devant la salle de fête d'Ouerdes,
lieu-dit de la commune d'Eycheil.
Ils partent à droite et empruntent le chemin de la Liberté. Un des lieux de passage pour gagner l'Espagne par instinct de survie ou pour résister. Il fut inauguré en 1994 et tous les ans en juillet, un périple sur l'entièreté du parcours est organisé avec des participants français, anglais, hollandais voire allemands. Nos Isards traversent Parrat et un pré. Oh, mais où sont-ils? Ils enjambent des clôtures avec l'aide de Michel et Robert.
C'est l'aventure et ils s'imaginent qu'ils sont Tarzan avec ces lianes qui pendent pour pouvoir éviter les passages de boue. Nenni, les lianes sont des ronces, heureusement, Patrick a son sécateur pour les libérer.
Ils arrivent en haut d'une des dolines de ce secteur. Un pin les interpelle qui épouse la courbure de la doline. Ils arrivent à Gabach., retrouvent le sentier Coumaragues . Encore une petite montée et les voilà dans le hameau Ouerdes après une boucle complète de 5km avec un dénivelé de 190m pendant 2 heures. Et maintenant ; goûter autour d'une table en marbre.
Ah mais surprise : le premier orchis de l'année, un orchis mâle !!! après les parterres de coucous, d'anémones et de violettes.
Jeudi 20 mars.
Enfin, une journée sans pluie, tempérée, idéale pour une rando.
Ils démarrent depuis le parking bien connu de la salle des fêtes d'Engomer. Des erreurs d'aiguillage de la part des animateurs et voilà, le groupe de 21 Isards scindé en 2 : 11 avec Patrick et 10 avec Sophie. C'est équilibré !!!
Par téléphones interposés, le contact est maintenu et ils se retrouvent sur les bords du Lez dans le jardin de pierres d'Alas.
Ils y découvrent d'étranges statues de pierres évoquant des personnages singuliers, des rois Aztèques, ou Asiatiques, un buste de Napoléon, un petit château-fort et d'autres figures originales. Des crues ont détruit certaines œuvres créées au milieu de la rivière.
Dommage. Tout a été construit au fil des ans par Robert M. en 25 ans de travail, de pierres empilées, de ciment et béton, transportés dans un endroit difficile d'accès.
C'est un lieu de rêverie, de sérénité et d'étrangeté. Une photo s'impose, ils continuent le long du Lez, traversent un pré et reviennent au parking par la rive gauche du Lez pour .... le goûter. Le groupe de Patrick a fait 4km500 avec un dénivelé de 90m en suivant le chemin de Compostelle et celui de Sophie en faisant un petit détour a fait 5km500 avec un dénivelé de 180m !!!!
Jeudi 6 mars, une douce journée de printemps, voire d'été, 18 Isards se retrouvent au parking du palais des Évêques.de Saint Lizier.
Ils longent les remparts de cette cité gallo-romaine des Consoranni qui devint un important évêché au Vème siècle. Ils admirent l'actuelle cathédrale de Saint Lizier. et au loin le Valier un peu embrumé par les poussières du vent d'autan. Ils descendent dans le village par des ruelles d'un autre temps.
Ils remontent par la rue unique qui passe sous la tour de l'horloge et on entend "ah, je connais quelqu'un ici, ah et moi aussi là "...
Enfin, ils arrivent au début du chemin des blaireaux ainsi baptisé par les enfants de l'école de Saint Lizier en 2016 dans le cadre de l'opération organisée par la FFRP "Un chemin, une école". Après des descentes et des montées toutes douces, ils arrivent sur la route de Montjoie qu'ils traversent. Ils s'engagent alors sous une haie de buis qui a l'air de reprendre après l'attaque de la pyrale.
Après la maison de retraite Hector Ossun et la chapelle du Marsan devant laquelle une photo s'impose, ils admirent l'ensemble formé par Notre Dame de la Sède et le palais de évêques. Un parterre de violettes les interpelle. Une dernière montée et les voilà au parking.
Vite, vite, table et chaises sortent des coffres des voitures et ils s'installent au soleil assis pour la plupart sur un muret à déguster les gâteaux de Sophie et de Robert. Ils le méritent bien : ils ont fait une petite balade de 6km avec un dénivelé de 180m qui a duré 2h. C'était cool.
Ce jeudi 27 février, 20 Isards de Saint Girons se retrouvent à Prat. Ils souhaitent la bienvenue à Florence. Puis, ils traversent Prat et montent calmement. Quelques passages sous les fils de fer pour éviter le chemin un peu trop boueux à leur goût.
Ils bifurquent à gauche dans le hameau de l'Hider, enjambent le ruisseau Hider et descendent dans un paysage fantasmagorique qui leur fait penser au massif de Souroque. Ils vont voir la passerelle qui enjambe la Gouarège Sauf, qu'il n'y a pas d'eau et pour cause, elle est souterraine. rappelez-vous que la Gouarège s'enfonce sous terre à Cazavet et ressort un peu plus loin de Prat.
Cela rappelle des souvenirs à certains car, ils y étaient venus en juin 2021. Cette fois-ci, ils font demi-tour. Ils sont émerveillés de voir la nature renaître, c'est la fin de l'hiver : violettes, anémones, primevères, jonquilles et même les fraisiers en fleurs !
Ils rejoignent Prat, traversent la rue principale et terminent cette boucle par la voie verte qui les ramène près de la nouvelle halle où les attend une table de plus de 12 places, les sièges pliants sont les bienvenus. Ils apprécient le goûter après 8km de marche pendant 2h35 avec seulement 120m de dénivelé. Tranquille.
Jeudi 20 février, 11 Isards se retrouvent au parking habituel à 8h30.
3 voitures s'élancent sur la route qui les mène en moins de 2 heures au plateau de Beille, destination incontournable. La chaîne pyrénéenne se déploie devant leurs yeux malgré le voile nuageux. Une belle journée en perspective! Sac à dos bien rempli, les voilà partis. Au croisement des 4 chemins, ils empruntent le circuit de la Passejade. A Beille d'en haut, ils s'accordent un bon moment de détente pour repartir vers les Crêtes. Enfin, ils s'installent les uns sur des rochers, les autres sur l'herbe pour un pique-nique bien mérité.
Maintenant, c'est le chemin du retour en retrouvant la Passejade qui passe au-dessus du barrage de Laparan. A leur retour, une grande table les attend et les verres de bière, panaché etc... sont vite engloutis !!! Ils venaient de faire 10km avec 300m de dénivelé en 4h30, déjeuner compris.
En cette belle matinée du 6 février, 23 Isards se retrouvent à 10h près de Baliar dans la commune de Montjoie.
Comment ? si tôt !!!
Eh oui, à midi, ils seront 30 à déjeuner au restaurant. En attendant, ils empruntent un chemin très boueux. Ouh, là là. Mais la gelée nocturne l'a figé et ça craque sous leurs pas. Maintenant, ils sont dans un immense vallon vert, bucolique, reposant sous un ciel d'un bleu immense. Ils savourent cette ambiance presque printanière. 2 heures plus tard, ils arrivent à destination après un circuit de 6km avec un dénivelé de 100m. Ils savourent ces bons moments d'entente.
Jeudi 30 janvier. On y va ... on n'y va pas !!!
Oh que le temps est incertain. Mais oui, tout le monde est là ! 21 Isards laissent leurs véhicules sur place et partent une belle boucle avec un temps inespéré.
Ils remontent le long du canal de Lédar qu'ils commencent à bien connaître. Mais, il y a des surprises : de l'Art-Channel et une curiosité géologique inconnue pour la plupart, le canal disparaît dans un tunnel et le ruisseau d'Aubert se déverse en cascade au-dessus.
Enfin, les voilà devant les gros blocs de marbre antique d'Aubert. Le retour se fait par les Hauts de Lédar avec une belle vue d'ensemble de l'ancienne papeterie Matussière et Forest en passant devant une école Steiner où les jeunes enfants apprennent avec leur tête, leur cœur et leurs mains. Un invité pour le goûter ? Nenni
À peine de retour, ils sortent chaises, fauteuils et tables pour le goûter dans un cadre pas très bucolique !!! Un parking de terre au milieu des camions !!! Sièges bien appréciés après une boucle de 10km avec un dénivelé de 150m qui a duré près de 3 heures. Il faut partir ... et justement les premières gouttes arrivent !!!
Ce jeudi 23 janvier, malgré les incertitudes météorologiques du matin, 23 Isards se regroupent près du cimetière de Lescure.
Le temps est superbe, c'est le printemps, non ! un parterre de perce-neige leur rappelle que la floraison est hivernale. Ils empruntent la route en crête qui les mène à Rimont tout en remarquant le clocher de Noguès, but d'une autre sortie. Une fois arrivés, ils remarquent les soubassements des maisons bâtis avec le marbre de la carrière d'Espiougue près de Castelnau-Durban. Ils descendent par un chemin herbeux vers l'abbaye de Combelongue.
Cette abbaye romane du XIIème siècle est construite entièrement en briques roses ce qui est inhabituel ici où la pierre abonde.
Maintenant, ils sont sur la voie verte pour un certain temps, puis virent à droite toute et traversent la route de Foix. Une courte montée douce, et les voilà à leur point de départ. Tout le monde s'installe pour ... le goûter. Les conversations fusent ! Ils n'arrivent pas à se quitter.
C'est chose faite à 17h 15 bien sonnées !!! C'était une boucle de 8,400 km de 140m de dénivelé qui a duré en tout 2h25.
Jeudi 16 janvier, 17 Isards se rejoignent sur le parking de la Chambre d'Agriculture en plein centre de Saint Girons. Certaines sont venues à pied ! La météo est finalement bonne comparée à celle de la matinée.
Le début de la randonnée débute par la montée de Claire Colline suivant le boléro.
Oh; mais non la rue Maurice Ravel ! Puis, c'est un long cheminement sur une crête avec des vues à gauche ,à droite. Saint Girons ensoleillé s'étale à leurs pieds.
Cependant, les sommets sont encapuchonnés. Ensuite, un grand moment de rigolade en écoutant Dominique dire à toute vitesse : LAPINICHLOINICHEBAMAISOUNICHELIBOU. Mais qu'est ce qu'elle raconte ? Tout simplement "la pie niche haut, l'oie niche bas, mais où niche l'hibou ?" . Vous pouvez répéter la question ? !!!
Au carrefour du Cap du Tuc, ils descendent par un sentier un peu boueux.
Après quelques pas sur le macadam, ils empruntent un petit sentier aussi glissant qui les mène au début de la voie verte partant de Saint Girons.
Une bonne marche sur le trottoir les conduit au parking où les attendent 3 tables pour un goûter bien mérité après une boucle de 6km avec un dénivelé de 140m qui a duré 2 heures. Le soleil les a bien accompagnés.
En ce jeudi 9 janvier de l'an 2025, 23 Isards se retrouvent à Moulis.
C'est la joie des retrouvailles après 4 semaines. Ils attaquent le chemin des "maginettes". Le mot "maginette" vient du mot "image", terme local pour désigner un oratoire où est nichée une statuette représentant un personnage religieux, très souvent la Vierge mais aussi des Saints.
Ils ont été construits au bord des routes et des chemins pour guider et protéger les voyageurs. La commune de Moulis en compte 8, c’est exceptionnel.
Ils en ont déjà vu 2 lors de la sortie du 14 décembre 2023 et ils apercevrons de loin la 8ème. Ils traversent le village de Moulis et passent devant le Métatron qui est un instrument unique au monde. C'est un ensemble de 48 cages de 100 m² reliées entre elles, conçu pour étudier la réponse des espèces animales au changement climatique. Température, hygrométrie et rayonnement solaire : le climat de chaque cage est commandé à distance au sein de ce dispositif sophistiqué situé à la Station d’écologie expérimentale du CNRS. Donc, tout en passant devant ces maginettes, ils admirent les sculptures en marbre Grand Antique d'Aubert. Ils traversent la route de Castillon et empruntent une partie du chemin "le renard qui se mord la queue" souvent arpenté. Ils revoient la coquille en marbre au Pouech et redescendent au parking après une boucle de 6km700 avec un dénivelé de 70m qui a duré 2h15. Tout le monde en voiture. Déjà !!! ah mais non c'est pour se retrouver au bord du Lez à l'abri pour le goûter. Ils tirent les rois ! Il y a 4 couronnes et 3 fèves !!! Où la 4ème ? La coupable se dénonce !!! Elle l'avait cachée dans une poche. Maintenant, tout le monde se lève, range et alors le papillon déploie ses ailes.