le temps n'est pas au beau fixe, cela n'empêche pas 13 Isards de se retrouver à Seix.
Ils enjambent le Salat particulièrement tumultueux après ces 2 dernières journées de pluie. Ils montent par une route forestière puis empruntent une sente bien tracée au milieu des herbes.
Quelques montées, quelques descentes et les voilà devant un grand troupeau de chèvres. Plus de montée mais une longue descente avec la compagnie de la pluie, une fois n'est pas coutume ! Ils passent devant le village de vacances de la Souleille et apprécient la halte à la halle de Seix.
Le temps du goûter, le temps d'une chanson de Michel et retour à Saint Girons. La balade de 7km a duré 2h40 en tout avec un dénivelé de 230m. Ils ont fait une moyenne de 3km par heure. Bravo.
Et, à jeudi prochain avec un nouveau programme.
Ce jeudi 18 mai, 11 Isards de Saint Pierre se sont joints à 13 Isards de Saint Girons pour une découverte pour certains d'entre eux du paysage calcaire du Plantaurel et surtout chercher, trouver et reconnaître les orchidéess.
Après avoir vu la loupe de l'orme Sully, planté du temps du duc de Sully en 1600 et mort en 1990, ils entament la randonnée par le sentier botanique parsemé d'informations sur les arbres qui le jalonnent. Des trouées dans la végétation leur permet de voir les rochers qui affleurent les champs, autres curiosités géologiques comme les dolines. Un orchis mâle, le premier !!!
Et, ce n'est pas fini, tout le long du chemin , ils verront de nombreuses variétés d'orchidées : orchis macula, à fleurs lâches, homme-pendu, bouc, pyramidal, sérapias .... voire des parterres de sérapias. Il fait bon, mais les nuages cachent les Pyrénées.
Heureusement, le vent s'est calmé car, le matin les rafales étaient assez fortes. A l'approche des voitures, ils traversent "Crabe, un hameau de quelques maisons en pierre sèche. Les anciens ne manquaient pas de rochers pour édifier des murets et leurs habitations. La balade de 6km800 se termine au bout de 2h45 avec un dénivelé cumulé de 100m. Et, tout le monde s'installe sur les bancs, les conversations continuent tout en goûtant les gâteaux au citron, au chocolat, les biscuits de Bretagne, le tout arrosé d'un sirop de thym maison, de cidre, jus d'orange ....
Rendez-vous pris en automne prochain.
En ce jeudi 11 mai, nuageux certes mais pas pluvieux, 16 Isards se retrouvent à Moulis pour continuer vers Montfaucon le Haut et ils s'arrêtent à l'embranchement de Poudadès. Ils entament leur balade par un chemin qui domine le parcours d'accrobranche de Moulis, en effet, le câble de la tyrolienne est à leurs pieds. Surprenant !
Des orchis macula jalonnent leur parcours. Ils débouchent sur une clairière. Ils s'enfoncent dans la forêt et les voici dans ce paysage fantasmagorique qu'ils connaissent bien en ayant parcouru plusieurs fois le chemin des hadas, mais depuis l'autre versant de Sourroque. Les voici au-dessus du gouffre de Degaudez.
Et maintenant, c'est l'aventure !!! Par où passer ?
à droite, à gauche, au milieu, en haut, en bas ? Les avis sont partagés !!! Ils doivent arpenter un chemin raviné par des engins forestiers. Quand c'est sec, pas de problème. Mais, il a plu et c'est devenu comme un champ de bataille boueux, vaseux... Personne n'a glissé sauf que Sylvie a mis malencontreusement son pied dans un trou. Son pied est bien ressorti mais pas sa chaussure !!! Et, Patrick farfouille dans cette boue gluante pour retrouver la chaussure !!! Non sans mal !!! Malgré ces conditions extrêmes, certaines en sont sorties indemnes, les chaussures propres comme si elles sortaient de leur salon !
Bravo, mesdames. La fin de la balade se passe sans encombre et tout le monde se retrouve près des voitures pour savourer un bon goûter et les conversations vont bon train. Ils se quittent à 18h !!!
La randonnée de plus 8km a duré près de 3h30 avec les pauses. Le dénivelé cumulé est de 315m tout en sachant que l'écart entre le point le plus bas et le plus haut n'atteint pas 200m. C'est dire que c'était vallonné.
En ce jeudi 4 mai, bien ensoleillé, 13 Isards se retrouvent sous les platanes de Castelnau-Durban.
Marie Claire est venue en voisine. Ils partent tous d'un bon pas, tout en admirant des maisons du XVIIIème siècle, siècle de la prospérité de cette bourgade.
Ils montent tranquillement par la route qu'ils quittent pour un chemin ombragé le long d'un ruisseau. Les voilà groupés devant le charmant lavoir de Francou.
Oh, quel sympathique muret ! Ils en profitent pour une pause bien méritée. Peu après, ils aperçoivent les ruines du château médiéval de Saint Barthélémy, puis, les maisons de Castelnau-Durban : la fin de cette balade inédite approche. Elle a fait 7km 300 avec un dénivelé de 165m et a duré 2h40, pauses comprises.
Et maintenant, que se passe-t-il? Notre troubadour, de retour, chante devant un auditoire attentif une berceuse basque (en français) . Merci Michel.
Encore un bel après-midi un peu nuageux certes, mais chaud qui réunit 17 Isards.
Aujourd'hui, ils restent à Saint Girons et s'en éloignent quelque peu. Ils partent donc du parking de Lédar en face de l'église et montent pour rejoindre le chemin de Lambège.
Une route les mène à Rouget, hameau sur les hauteurs après avoir eu une belle vue d'ensemble de la papeterie Matussière et Forest fermée depuis 2008. Ils descendent, admirent un pommier en fleur avec les pics de l'Arraing et de Serau au loin après avoir traversé la route de Castillon.
Les voici devant la carrière de marbre antique d'Aubert en pleine exploitation. Ils empruntent le chemin de Compostelle tout en longeant le canal de Lédar dont le courant les impressionne. Un tapis de pervenches les interpelle. Et maintenant, que font-ils ? ils s'installent pour le goûter !
Il est vrai : le réconfort après l'effort ! En effet, la balade de 8km200 a duré 2h45 avec un faible dénivelé de 115m.
Par ce bel après-midi un peu nuageux certes, mais chaud, 13 Isards rejoignent leurs 2 animateurs à Micha, un lieu-dit de la commune de Montesquieu-Avantès. À partir de Séraillès, ils suivent une piste en crête tout en admirant d'un côté la chaîne pyrénéenne du pic de la Journalade jusqu'au pic du Midi de Bigorre, eh oui, encore lui ! le sieur Valier est toujours là et de l'autre la plaine de la vallée de la Garonne. Les voici au point culminant de la balade au-dessus de Bouynéous bien connu par la profusion d'orchidées en avril-mai. Retour aux véhicules par une variante en forêt où les attend le goûter devenu habituel et aussi chaleureux. La randonnée de 6km200 avec un dénivelé de 140m a duré 2h10.
En ce bel après-midi du jeudi 16 mars, 18 participants se retrouvent dans le centre de Salies du Salat. Ils aperçoivent les ruines surplombant la ville, un des buts de la sortie Ils déambulent tout d'abord dans les rues en passant devant l'ancienne mairie, les anciennes halles et .... ils sont ébahis de voir cette fresque, témoin du passé médiéval de la commune, réalisée en 2004.
Demi-tour : ils montent sur la motte médiévale où trônent un donjon du XIIème siècle, reste du château des Comtes du Comminges et une chapelle en ruines, témoignage de l'époque romane tardive du XIVème siècle. Le panorama sur la chaîne des Pyrénées est magnifique avec évidemment le Valier.
Demi-tour : ils empruntent une route avant de s'engager sur un large chemin forestier. Surprise : des parterres de jonquilles ! Le printemps arrive avec cependant une température presque estivale. Ils atteignent le point culminant de la balade, la Vierge du mont de Poueigh érigée en 1938 en l'honneur de Notre Dame de la Paix et que voient-ils au loin devant eux ? Le Pic du Midi de Bigorre.
Ils descendent par une sente, sont en vue de l'abside de l'église templière Saint Christophe de Montsaunès du XIIème siècle. Elle est remarquable par les chapiteaux de ses portails. Les murs et la voûte à l'intérieur offrent des peintures à l'iconographie très variée. La randonnée de 4km200 avec un dénivelé de 145m a duré en tout 1h45.
Et maintenant, place au goûter pour prolonger ces moments de rencontre.
Jeudi 9 mars : 20 Isards se retrouvent au parking habituel à Saint Girons.
Le ciel est d'un bleu pur sans nuages et la température est plus que clémente. I
ls sont accompagnés par la maman de Baya.
Ils quittent à pied ce parking pour une balade à peu près inédite en passant l'ancienne voie ferrée. Ils dominent la route départementale et surtout ont une belle vue sur la cité de Saint Lizier. Ils montent par la route, traversent l'hôpital Rosès, puis descendent par un sentier forestier très éclairé par le soleil.
Enfin, ils débouchent sur les hauts de Lédar et maintenant, ils contemplent la vue sur Saint Girons. Ils sont de retour au parking , s'isolent dans un coin, ils s'assoient sur des grosses pierres pour le goûter avec gâteaux préparés par Élisabeth et Martine arrosés de cidre, bière et coca-cola. Merci à toutes les 2. C'était très bon. La balade de 6km700 avec un dénivelé de 120m a duré en tout 2h15.
Et .... que passa t-il à leur retour chez eux ? La pluie prévue se mit à tomber !!!!
Jeudi 2 mars : 16 Isards se retrouvent à Engomer. Ils sont accompagnés par Jade, une petite fille de Chantal. Ils entament une balade faite en octobre 2021.
Le temps n'est certes pas le même : ils sont un peu plus emmitouflés !!! La température est très supportable. Ils traversent le Lez et prennent le chemin qui part à travers la forêt pour atteindre les granges de Paracoch, point culminant de la randonnée.
De nombreuses pauses ponctuent cette montée. Les talus sont couverts de violettes, le printemps approche. Maintenant, c'est la descente vers Le Pouech, descente interrompue pour laisser passer un tracteur. Une dernière halte et les voici sur le chemin de Compostelle qui les ramène au parking. Aussitôt, chocolat chaud, cidre et "merveilles" les réconfortent.
Ce circuit surnommé "Le renard se mord la queue" de 5km800 a duré en tout 2h15 avec un dénivelé de 225m. Que se passe t-il en reprenant les véhicules ? Comme pratiquement tous les jeudis : il pleut !!!!
Jeudi 16 février, à Saint Girons : beau temps, presque trop chaud, surtout pour la saison. Nous étions 4 personnes : Sylvie, Josée, Geneviève et moi-même. Nous avons parcouru le chemin des Gabats en partant du palais des évêques à St. Lizier. Au retour depuis la chapelle, nous avons suivi un sentier menant devant le cimetière et nous voilà sur le parking .
Avant de rejoindre nos habitats respectifs, nous avons dégusté un moelleux au chocolat offert par Sylvie. Merci Michel et Geneviève.
Jeudi 23 février, le temps n'est pas si mauvais que prévu. 11 Isards partent à l'assaut du château de Montesquieu-Avantès depuis l'ancien hôtel des thermes d'Audinac en empruntant la voie romaine. Ce château du Moyen Âge est un exemple même d'un château dominant un terroir de défrichement. Au retour, de passage devant la mairie, ils vont voir la loupe de l'orme "Sully".
Cet arbre, planté en 1750, était mort en 1990. Puis avant de rejoindre leur véhicule, ils visitent le camping d'Audinac les Bains et les anciens thermes de style néo-classique. Chacun se met devant une colonne !!! Un bon chocolat chaud les attend au terme de cette balade de 8km100 qui a duré en tout 3 heures avec un dénivelé cumulé de 180m.
14 Isards se retrouvent au plateau de Beille que certains découvrent enneigé.
Un pique-nique les réunit sur une nouvelle terrasse de ce bâtiment récemment inauguré après de longs mois de reconstruction. Le soleil est au rendez-vous.
À 13h, ils arpentent les pistes de piétons bien damées. Le paysage est toujours aussi magnifique, ils se sentent au bout du monde ! De nombreuses pauses les amènent au carrefour des "4 chemins", puis au sommet de la balade au-dessus du lac de Laparan (1980m)... De retour aux voitures, ils dégustent ravis un bon chocolat chaud, un gâteau au chocolat et des morceaux de .... chocolat.
La randonnée de 7km300 avec un dénivelé de 217m a duré en tout 2h50.
Jeudi 2 février : 26 Isards n'ont pas résisté à profiter du ciel bleu, du soleil, de la vue sur les montagnes enneigées pour se retrouver à Lorp devant la maison natale d'Aristide Bergès, père de la Houille Blanche, laquelle maison est transformée en musée.
Les voici partis tout guillerets sur la route les menant à Sentaraille qu'ils quittent pour longer le Salat. Une "pozo" (pause eau !!!) leur permet d'en admirer les berges. Le panorama sur les Pyrénées est magnifique et le seigneur Valier veille sur eux, de loin certes.
Un large chemin les ramène à Sentaraille devant la médiathèque. À la sortie du village, un autre chemin à travers les près les conduit sur la voie verte. Un troupeau de moutons paît tranquillement, indifférent au paysage. De retour aux voitures au bout de 2h30, ils s'installent, ils continuent à papoter tout en dégustant les crêpes préparées par Josée, Martine et Sophie. Merci à elles.
Et, surtout, merci à Chantal et Michel qui ont entonné pour le plus grand plaisir de l'assistance "Les souliers" de Guy Béart.
La boucle faisait 7km700 pour un dénivelé cumulé de ..... 20m !
la plaine est sous la grisaille mais les montagnes sont dégagées et ensoleillées. 18 Isards se retrouvent à Engomer. Certes, il y a une certaine fraîcheur mais sèche et pas de vent, que demander de plus pour une randonnée qui les fait passer par Alas en longeant le Lez ?
Après la traversée de ce village, ils empruntent un large chemin pour accéder à Arrout, village qui les enchante par ces maisons retapées, son lavoir et sa mairie aux volets "bleu charrette".
D'ailleurs, ils se souviennent des travaux du moment. Ils y étaient passés le 29 octobre 2020. C'est le point culminant de la sortie. Une vue leur permet de voir l'église Saint Pierre d'Arrout de 1850, construite sur une chapelle templière dont elle conserve le portail roman. Ils prennent un sentier plus étroit, nullement boueux, puis une route peu fréquentée. Certains font un crochet pour voir la "chambre d'eau" ou bout du canal de la centrale d'Arrout et les voilà tous sur la route de Castillon.
Vite, ils la traversent et rejoignent l'ancienne route de Cescau qui les ramène à Engomer face au parking : boucle parfaite de 8km avec un dénivelé de 180m qui a duré en tout 2h35. La pente était douce tout le long du chemin. Un large abri leur permet de profiter du chocolat chaud, des chouquettes, de retrouver l'un des leurs momentanément privé de sorties et d'entendre la balade de Michel après cette belle ballade.
malgré la soi-disant mauvaise météo, 11 participants se retrouvent à La Bastide de Sérou.
Patrick part à Montels, les autres prennent la voie verte qu'ils quittent pour descendre à Manchifrotte. Le soleil à peine voilé leur réchauffe le corps et le cœur. Un cadran solaire les interpelle. Ils traversent la départementale et toujours aussi doucement, ils montent jusqu'à l'école de Montels.
Peu après, ils prennent une piste, et les voilà qui crapahutent à travers bois. Ils découvrent émerveillés les restes de la mine de Montels appelée aussi mine de Lina : les vestiges de la plate-forme, la tour d'arrosage, la cheminée principale d'une quinzaine de mètres de hauteur, une cuve ... Certains même partent à l'aventure et trouvent une cavité qui aurait pu servir d'entrepôt de matériel et peut-être même de la dynamite !!! Des stalactites de calcique pendent au-dessus de l'entrée.
L'inventaire national du patrimoine naturel le présente comme le seul site du XIXème siècle en France à associer production de cuivre et d'argent.
Pour plus de précisions, consulter le livre de Claude DUBOIS "LES SIMON". Demi-tour jusqu'à l'école. Patrick part avec les chauffeurs pendant que les autres se régalent d'un bon chocolat chaud et de biscuits. La température est vraiment clémente. Cet aller de 6km700 a duré 2h30 avec la visite du site et 160m de dénivelé. Jeudi prochain, programme prévu du côté d'Engomer.
Jeudi 12 janvier 2023 : sous un très beau ciel bleu, 22 participants se retrouvent à la mairie de Gajan. Ils gravissent un vallon et se trouvent sur un beau chemin tapissé de feuilles mortes qui bruissent sous leurs pas. La porte sur l'échelle de la palombière est toujours cadenassée ! Cf reportage du 14 octobre 2021.
Le cheminement avec une série de courtes montées et descentes les mène devant la résurgence de la Touasse près du hameau Bordes-Vieilles. Un sapin avec ses boules est installé sur le chemin !!! Demi-tour, la lumière n'est pas la même, ainsi, ils découvrent un parterre de perce-neige.
De retour aux voitures , ils écoutent tout en goûtant leur troubadour chanter la ballade "ECHO". Cet aller et retour de près de 7km a duré 2h30 pour un dénivelé cumulé de 150m.
À jeudi prochain. Suivant le programme mensuel établi, ils iront de La Bastide de Sérou aux mines de cuivre de Montels.
Jeudi 5 janvier 2023 : Après la trêve de Noël de 15 jours, il faut bien se reposer, sous un très beau ciel bleu, 21 participants se retrouvent à Audressein. Ils traversent à nouveau la Bouigane mais à pied et montent un escalier qui les mène à la route principale de Castillon en Couserans.
Du pont, ils admirent la roue d'un ancien moulin, déambulent ensuite dans les vieilles rues en pente de ce village. C'est un voyage dans le passé avec des tableaux accrochés au mur. Ils descendent à la centrale de Castillon, puis empruntent alors la route jusqu'à Salsein.
Même aujourd'hui, la chaleur se fait un peu sentir. Il y a toujours du soleil et la vue sur le piémont est magnifique. Le village de Salsein les enchante : le lavoir, l'église.... Enfin, ils descendent toujours par la route. Lors d'une pause, un panneau avec une photo des années 50 les attire une fois de plus. Il faut dire que cette rando a été faite le 4 août dernier. Lors d'une rencontre avec un chauffeur de 4X4 : 3 d'entre elles entament une conversation avec ce monsieur fort sympathique : "Oh, dit-il, mais je vais avoir 70 ans et je viens de couper du bois". "Ah bon, mais je vais avoir 79 ans dit l'une d'elles, et les autres "ah mais oui, moi 78 ans".
Surprise du chauffeur prénommé Bernard qui a bien bourlingué dans sa vie : " Ouh, mesdames, vous avez de nombreuses années devant vous" !!!!! Bon, on continue. Cette fois-ci, le chemin de traverse est trouvé et voilà nos 21 Isards de retour à leurs véhicules. Tables, sièges sortis des coffres et ils tirent les rois devant un charette pleine de cadeaux, mais ce n'est pas pour eux !!!
À jeudi prochain. Suivant le programme mensuel établi, ils partiront de la mairie de Gajan.
Malgré le temps incertain, ce jeudi 15 décembre, 18 Isards sont réunis dans le quartier Palétès de Saint Girons pour un circuit fait le 12 décembre 2019 mais avec des variantes. Ils traversent le camping de Palétès après avoir gravi bravement les marches y menant.
À Gouaset, ils continuent sur la piste puis bifurquent à gauche, un talus à franchir et les voilà dans un champ qu'ils tracent tout en zigzagant. Le soleil leur tient compagnie. Ils arrivent à Herré d'où ils ont une belle vue sur la plaine.
Des ânes ne sont vraiment pas contents de leur présence !!!
La descente par Pégoumas n'est plus qu'une formalité tout en admirant le beau point de vue sur Saint Girons, Eycheil et Ouerdes. Des flaques d'eau sont les bienvenues pour laver les chausures !!! Ils ne sautent pas dedans, ce n'est pas l'envie qui leur manque !!!
Un chemin inédit les ramène sur la "voie ferrée" maintenant piste piétonne. La statuette de Sainte Thérèse les interpelle toujours. Ils sont de retour aux véhicules où les attendent gâteaux et chocolat chaud. Un grand moment de bavardage car la balade de 5km n'a duré que 2h10, avec un dénivelé de 200m. Bonnes fêtes de fin d'année.
Rendez-vous pris le 5 janvier pour de nouvelles balades dans le Couserans.
14 participants dont 2 futurs Isards. Bienvenue à Élisabeth et Jean Marie.
Le temps est nuageux mais clair, contrairement aux prévisions météorologiques. Ils partent de Lacourt pour une balade faite le 5 décembre 2019, se reférer au reportage de ce jour-là pour plus d'informations. Une vue sur le Salat marque le début de la balade.
Après Régule caractérisé par une maison habitée, la route devient un sentier dans la forêt qui les mène jusqu'à la croix de la Quère. Une halte bienfaitrice leur permet d'admirer le Bouirex enneigé. Les feuilles jaune vif des arbres scintillent au soleil : c'est magnifique. Ils continuent jusqu'à Araux où les attend un véhicule et le goûter. Un chocolat chaud, du thé, de la bière leur sont proposés avec des biscuits.
L'ambiance est chaleureuse. Le chauffeur.du "food-car" emmene les chauffeurs à Lacourt et les autres descendent par la route en lacet.
Tout le monde se retrouve près de la passerelle sur le Salat. La balade a duré plus de 2 heures sur un parcours de près de 6km500 avec un dénivelé de 200m.
Jeudi 1er décembre, 18 Isards se retrouvent à côté de l'église de Buleix près de Castet d'Aleu.
Ils partent pour une boucle de 7km300 avec un dénivelé de 240m. Ce circuit leur avait été proposé le 28 novembre 2019, autrement dit à la même époque. Ils montent, donc, sur la route qui les mène à Boussan.
Tout le long du chemin, ils admirent leur Seigneur, le Valier, vite caché par les nuages et les merveilles couleurs que l'automne enfin arrivé peut leur offrir. Surprise ! sur un talus et dans un pré au-dessus, des dizaines de trémoules.
Qu'à cela ne tienne, malgré leurs douleurs (!!!), ils gravissent le talus et même rampent sous les barbelés pour ramasser en 5 minutes plus de 2 kg de trémoules !!!
Arrivés à Boussan, ils empruntent un chemin de terre qui les ramène sur la route asphaltée et les voilà de retour. La balade a duré en tout 2h30. Ils écoutent bien encapuchonnés la ballade de leur troubadour, Michel.
Ah non, autant à la montée, il faisait presque chaud, maintenant, les mains restent dans les poches : pas possible de tenir un verre !!!!
Tout le monde retourne à St Girons et à jeudi prochain pour un aller simple Lacourt-Araux.
Jeudi 24 Novembre, 20 Isards se retrouvent sur la place centrale de Beauregard, quartier de St Girons.
Après les trombes d'eau de ces derniers jours, les animateurs ont décidé d'éviter le chemin en forêt qui risquait d'être assez glissant. Ils descendent alors en s'acheminant vers Eycheil par une piste.
Ils longent ensuite le Salat assez tumultueux aujourd'hui. La plaine d'Eycheil présente un paysage bucolique avec des vaches qui paissent tranquillement. Le soleil est présent pour le grand plaisir des Isards.
Ils franchissent une première passerelle et toujours longeant la rivière, ils arrivent à la deuxième passerelle récemment inaugurée. Et, ils terminent leur "promenade" par la montée du jour de 45m. La boucle de 6km a duré 2 heures. Maintenant, place au goûter et ils papotent.
Mais au bout d'un certain temps, une invitée arrive ; la pluie !!!
Tout le monde en voiture et à jeudi prochain avec le programme des 3 sorties du mois de décembre.
Jeudi 17 Novembre, 23 Isards se retrouvent dans un autre parking du centre de Saint Girons pour une balade faite le 10 Février dernier.
Surprise, ils la font dans le même sens !!! Une fois n'est pas coutume ! Donc, ils attaquent la même montée tranquille jusqu'à se trouver sur un chemin de crête qui les mène au cap du Tuc. Aujourd'hui, la présence des nuages les empêche de profiter pleinement de la vue, mais ils admirent les couleurs de l'automne. Ils aperçoivent, néanmoins, la croix du Montcalivert. Une bonne descente les amène à Pégoumas, ils retrouvent le bitume. Après avoir déambulé dans les rues tortueuses de Saint Girons, ils retrouvent leurs véhicules et surtout les 3 tables pour le goûter. Les conversations reprennent de plus belle, quoique, elles n'ont pas cessé !!! Sauf peut-être dans les montées !!! Le soleil s'invite pour le grand plaisir des participants.
La randonnée de près de 4km600 d'un dénivelé de 140m a duré près de 2 heures.
Jeudi 10 novembre, 21 participants se retrouvent près du cimetière de Mauvezin de Prat pour une boucle faite en mars. L'attaquant en sens inverse, ils se trouvent dans un sous-bois qui débouche sur une verte prairie avec vue sur Saleich.
Ils se sont expatriés !!! La végétation n'est pas la même et pourtant, l'automne ne semble pas encore arrivé : les arbres ne sont pas dénudés comme les bras de nos randonneurs d'aujourd'hui !!!!
Quel temps magnifique ! Des photos de groupe ponctuent leur cheminement : Mauvezin de Prat, Saleich Vieille enfin Francazal. Dans Saleich Vieille, Sophie ne peut s'empêcher de grimper à une échelle posée sur un muret à 1 m du sol !!!
L'échelle est bien attachée mais que d'un côté alors prudence !!! Des chevaux dans un pré accourent vers eux. Une carotte avec ses fanes leur est proposée. Ils ne refusent pas ! Plus loin sur la route : une salamandre.
C'est le retour aux voitures et vive le goûter ! Certains sont équipés pour un meilleur confort !!! C'est une boucle de 7km400 avec un dénivelé de 185m qui a duré 2h25, pauses comprises.
Les animateurs proposent de leur présenter un programme mensuel. La semaine prochaine, ce sera le quartier de Claire Colline.
Jeudi 3 novembre, 16 Isards et la petite-fille de l'un d'entre eux retrouvent leurs 2 animateurs au parking de covoiturage de Montjoie. Quelques centaines de mètres plus loin sur la voie romaine, ils laissent leurs véhicules. Ils attaquent en sens inverse une balade faite le 17 décembre 2020. Ils commencent par traverser le village d'Audinac. Puis, le chemin devient boisé, les prés sont verdoyants, la température est très clémente, le soleil brille ... Que demander de mieux après la grisaille de ce matin. Ils font une rencontre inhabituelle : 6 chevaux avec 5 jeunes cavaliers et cavalières et leur monitrice. Demi-tour et 3 ânes quettent un peu de nourriture mais plutôt des caresses. Ils longent la plantation de sapin de Noël puis le lac de Belloc, finissent la balade par un bout du chemin de. Compostelle. Pendant l'installation du goûter, des grosses gouttes tombent mais pas assez pour leur faire renoncer à ce moment tant attendu : entendre Michel jouer de l'harmonica et chanter 2 ballades dont les roses de Corfou. On ne s'en lasse pas.
Au moment des applaudissements, cette fois-ci, la pluie insiste et branle-bas de combat : tout le monde aux abris. À quelles rafales de vent ont-ils échappé ?!!!!La balade de 7km500 a duré 2h40, pauses comprises, avec un dénivelé cumulé de 135m.
Jeudi 27 octobre, 17 Isards retrouvent leurs animateurs et leurs 2 petites-filles à la salle de fête de Gajan.
Bienvenue à Martine et Eddy, bon retour à Christelle, Claude et Josy.
Ce circuit a été proposé le 10 mars dernier. Se référer au reportage de ce jour. Aujourd'hui, il fait très clair et les Pyrénées sont découvertes. La lumière est assez spéciale comme on le verra avec une vue sur le Valier.
Surprise : la palombière a disparu mais l'épave est toujours présente dans ce clair sous-bois. Les arbustes donnent de l'ombre et un peu de fraîcheur. Même descente : Chaumarti, son verger et son superbe arbre de houx avec toutes ses boules rouges (Noël est dans 2 mois !!!), la mairie de Gajan et les voici au point de départ. La fontaine est même tarie en ce moment. Au parking, un goûter les attend.
Mais, surtout, Michel sort son harmonica et ensuite entonne une superbe ballade. Et, la balade de cet après-midi de près de 6km avec un dénivelé cumulé de 210m a duré 2h25, pauses comprises. Vivement jeudi prochain.
jeudi 20 octobre, 16 Isards partent du parking de la Pucelle connu par de nombreux Isards de BSL comme départ entre autres pour le Tuc du Coucou, le port d'Orle, Montgarry ... Quel plaisir de revoir Josy et Claude, piliers de notre groupe, absents depuis 2 ans. Une photo et la troupe s'ébranle sur le GR10 par un chemin ombragé, des lacets en milieu herbeux et au bout d'1h30 les voici sur la voie Decauville.
Ils sont récompensés de leurs efforts en découvrant les vestiges de cette voie avec ses rails et ses wagonnets. (Des recherches avaient eu lieu entre 1899 à 1907, mais le minerai venant d'Espagne n'a jamais été exploité.
Beaucoup de travail pour rien). D'autres points remarquables vont ponctuer leur progression : une niche, un premier tunnel, la galerie de rangement des rails pendant l'hiver (0,60 m de largeur de l’ingénieur-inventeur français Decauville), la galerie de prospection, les 2ème et 3ème tunnels. jusqu’à la jonction avec le GR10 qu'ils avaient quitté. Un passage avec une main courante ne les décourage pas et ils essuient quelques bourrasques assez impressionnantes.
C’est alors la descente en lacets bien tracés dans la hêtraie. Au bout de 3h30, ils apprécient le goûter ! Ce circuit de près de 9km avec un dénivelé de 400m leur a permis de découvrir ou redécouvrir la montagne.
Jeudi prochain, ce sera plus cool, promis !
19 participants retrouvent leurs 2 animateurs à Aubert, près de la carrière de marbre.
Petit rappel : La Carrière de Marbre d’Aubert fournit un marbre très connu et réputé, de grand standing et de luxe, exporté dans le monde entier, le fameux Grand Antique. Ce marbre unique au monde est aujourd’hui exploité par la société Escavamar, une entreprise italienne, siégeant à Moulis, et participant à la vie économique locale, mais sa production remonte à l’époque romaine.
Le temps est dégagé contrairement aux prévisions. Ils sont ravis de retrouver leur troubadour, Michel, et surtout d'accueillir de nouveaux compagnons de rando. Bienvenue à Élisabeth, Martine, Sylvie et Guy. Ils partent pour une boucle de près de 7km pendant 2h25 avec un dénivelé de 240m. La troupe s'élance sur la route d'Ussau, se croyant tranquilles. Mais, ce n'est pas sans compter les travaux de l'installation de la fibre.
En l’occurrence, ce sont des camions et des camions qui les doublent ! A l'entrée de ce hameau, une toute petite maison les interpelle : sur le cliché, on ne se rend pas compte de l'échelle !!!! Puis, ils quittent la route pour un chemin ombragé, parfois dégagé. Et, tout en descendant, Michel entonne un air repris par certains !!! Ils arrivent à Moulis où Patrick montre un angle de maison fait avec un bloc du marbre local. Une fois arrosé, les nervures sont bien mises en évidence. Après le pont, ils longent le Lez jusqu'à l'autre pont et ils retrouvent leurs véhicules. Ils s'installent sur le muret au soleil, le long du goûter et non autour !!! Alors, ils écoutent, ravis, Michel; certains dans l'assistance participent au refrain et enfin à 3, ils nous offrent un concert !!!! La bonne humeur est toujours là.
Merci à toutes et à tous. Vivement jeudi prochain !
Jeudi 6 octobre, 18 participants retrouvent leurs 2 animateurs à Tourtouse.
Le temps est couvert mais la température est clémente. Ils partent pour une boucle de 6km500 pendant 2h30 avec un dénivelé de 150m. Tourtouse , bien connue par les Isards pour son restaurant, mais aussi pour son église, son donjon clocher et surtout ce fut la résidence des évêques du Couserans (se référer aux reportages du 23 janvier 2020 et du 10 mars 2022).
La troupe s'élance sur la route puis sur un chemin herbeux et s'arrête devant un panneau indiquant un ancien moulin.
Ils franchissent alors un gué sur le Lens. Pendant la montée vers la route, un éboulis de pierre bien blanche interpelle certains d'entre eux. Et, ils arrivent à Bédeille. Un petit établissement thermal fut inauguré en 1870.
Il fermera exactement un siècle plus tard...
Le village n'avait pas tous les attraits ludiques des stations thermales connues. Un grand père de Roger Fauroux (1926-2021) ministre et maire de St Girons était originaire de ce village.
Revenons à nos randonneurs : ils entrent sous le porche de l'église Saint Michel, il y a une statue de Jeanne d'Arc (!). Un clocher mur à 3 cloches surplombe cette église.
Et, que voient-ils? DU ROSE !!! photo de toutes celles qui portent du rose même les chaussettes !!! Un petit détour pour admirer l'ancienne école et après 2 km de route, ils prennent sur la gauche un chemin qui les ramène à Tourtouse après avoir dégusté de bonnes figues. Ah, les gourmands ! De nouveau, ils franchissent un gué sur le Lens.
Au retour, certains vont voir la dernière installation de Tourtouse : le théâtre de plein air de 250 places construit en 2015 sur les remparts de la motte médiévale. Un goûter les rassemble autour de gâteaux, bière, coca, jus d'orange et les conversations vont toujours bon train.
Bon, il faudrait rentrer ! Á jeudi prochain.
Encore un bel après-midi réunit 13 participants à cette randonnée. En l'absence de leurs animateurs, ils décident d'un commun accord d'aller à Montégut. Partant du cimetière de ce village, ils atteignent le col de Belein en prenant le chemin des Carriers qui ont exploité une carrière de marbre noir jusqu'en 1978 . Photo oblige au col devant la fameuse cabane des chasseurs. Puis, ils redescendent par la route pour rejoindre leurs véhicules. C'est une boucle de 6km400 avec un dénivelé de près de 200m.
En ce bel après-midi 1es 2 animateurs retrouvent 15 participants de Saint Girons sur le parking près du pont d'Engomer dont 3 futurs (?) Isards. Ils attaquent la balade par l'ancienne route de Cescau. Ils empruntent peu après sur la gauche un chemin de terre. En vue de la chapelle de Saint Michel, ils bifurquent encore à gauche et une petite montée les mène au sommet de la journée. La vue sur 360° est magnifique sur la vallée du Lez et s'étend jusqu'à la Mail de Bulard et le Maubermé. Cette chapelle construite au XVème siècle a servi entre autres comme décor pour le film "Le retour de Martin Guerre". Le temps est un peu nuageux, la température clémente. Demi-tour et partant sur la gauche une fois de plus, et oui, c'est une boucle !!!, ils traversent Loutrein, hameau qui possède de belles maisons anciennes à balcons, puis descendent par un chemin étroit, traversent un ruisseau enfin remontent sur Astien qui a été un village relativement important et l'est encore; l'ancienne école en est la preuve. En ce temps de sécheresse, il est rassurant d'entendre le doux chuchotement du ruisseau d'Astien. Ils suivent la route goudronnée puis prennent à droite un chemin qui les ramène au bord du Lez qu'ils longent pour arriver à Engomer où les attend un goûter. C'est une boucle de 6km500 avec un dénivelé de 185m qui a duré 2h20.
Ce jeudi 8 septembre, ce sont vraiment les retrouvailles. 18 Isards, pas les mêmes que jeudi dernier, se regroupent près du cimetière de Lescure. Ils empruntent la route en crête qui les mène à Rimont où ils avaient été le 29 avril 2021. Ils remarquent les soubassements bâtis avec le marbre de la carrière d'Espiougue, autre rando le 4 février 2021. Une photo sur la place de Rimont et ils descendent par un chemin herbeux vers l'abbaye de Combelongue. Cette abbaye du XIIème siècle est construite entièrement en briques roses ce qui est inhabituel ici où la pierre abonde, cette abbaye romane est l'un des rares témoins de l'influence mudéjar. (Les mudéjars étant des musulmans devenus des sujets des royaumes chrétiens de Léon, Castille, Aragon et Portugal lors de l’expansion de ces royaumes vers le sud durant la Reconquista). Oui, aujourd'hui, ils font une boucle. Le temps est magnifique et la chaleur est très supportable. Ils sont sur la voie verte et certains reconnaissent une portion déjà prise. Puis, ils tournent à droite, traversent la route de Foix et après une légère montée douce, se retrouvent à leur point de départ. Tout le monde s'installe et un goûter leur est offert agrémenté des chants de leur cher troubadour qui leur a tant manqué cet été. Il est tellement sollicité qu'ils ont droit à un récital et 3 d'entre eux l'accompagnent. Quel merveilleux moment ! Ils n'arrivent pas à se quitter. C'est chose faite à 17h30 passées !!!! C'était une boucle de 8km et 120m de dénivelé. Vivement jeudi prochain !
En ce jour du 1er septembre, une nouvelle année débute. 18 Isards se retrouvent à Caumont. 2 nouveaux sont parmi eux : bienvenue à Christine et Pierre. Félicitations à nos 4 Isards qui ont participé à la marche des 10km organisée lors du Marathon des Oussaillès dimanche dernier. Et, bon retour à celles et ceux qui reviennent après quelques mois d'absence. Le temps est superbe contrairement aux prévisions météo. Les choses sérieuses commencent en prenant les véhicules pour éviter une marche fastidieuse et un dénivelé important. Après la photo du groupe devant la cabane des chasseurs, ils montent par un chemin large, convivial, chemin qui serait agréable si il n'y avait pas toutes ces carcasses de camions, de tracteurs, de quais de déchargements envahis par les ronces. C'est un peu dommage de voir cette nature vandalisée. Ils passent près du hameau de Gèle (7 maisons, 7 ménages, 23 habitants) et sont sur une route vraiment très peu fréquentée. Ils bifurquent dans un bois où par moment, des trouées leur permettent d'admirer le paysage, notamment, l'aérodrome d'Antichan avec Saint Lizier au fond. Même, ils aperçoivent la croix de Montcalivert. Une belle surprise les attend : une cabine téléphonique !!! Un barbecue sur 3 roues, ne parlons pas du reste, tentes éventrées, chaises retournées .... Plus tard, une petite collation leur est servie, merci Christine. Une descente sur un terrain schisteux avec des galets ralentit le rythme. Ils passent devant un centre équestre flambant neuf, et arrivent ainsi au-dessus du stade de Caumont. Une dernière photo sur un joli petit pont et les voilà devant leurs véhicules. Nenni, ils sont là haut. Qu'à cela ne tienne, certains étaient restés ici, Chantal amène les chauffeurs au départ de la randonnée. En attendant, les conversations vont bon train. La balade inédite de 7km avec un dénivelé de 160m a duré 2h40. Vivement jeudi prochain.
Cette rando a réuni 15 participants de Saint Girons; il est vrai que la famille Campé est toujours bien représentée !!! Il fait beau, la température est idéale pour randonner. L'idée d'aller au col d'Ayens est maintenue. À 9h45, ils partent du col par un large chemin forestier. Ce col se situe dans le massif de l'Arize en limite du territoire des communes d'Erp et de Soulan. Les conversations vont bon train, vu qu'ils sont 3 voire 4 de front !!! Après avoir marché au milieu d'une forêt dense, ils découvrent la chaîne couserannaise au-dessus d'un champ de fougères. Ils sont émerveillés. De chaque côté, ils remarquent beaucoup de balsamines de l'Himalaya (espèce d'Impatiens). Ils atteignent ainsi le col Bès. Ils prennent alors un large chemin assez pentu, mais cela ne dure pas longtemps et au sommet des mûriers de chaque côté. Les gourmands se délectent !!!! Un rocher faisant penser une tortue les interpelle. Et voilà, la boucle est bouclée. Ils admirent encore le paysage depuis la table d'orientation et se retournant, ils aperçoivent 2 tables de pique-nique. Ils s'installent donc et trinquent !!!
La balade de 6km800 a duré 2h20 pauses comprises avec un dénivelé cumulé de 220m. Les nuages arrivent, il est temps de se quitter. Jeudi prochain, début de la saison 2022-2023.
Cette rando a réuni à 9 heures 14 participants de Saint Girons; il est vrai que la famille Campé était bien représentée !!! Le projet d'aller au col d'Ayens a été vite abandonné, les nuages sont vraiment trop bas. Alors, ils font le tour du château de Prat, boucle faite le 13 mars 2020, dernière sortie avant le 1er confinement. Ils partent de la poste, une petite montée les mène sur une route d'où ils ont une vue inédite sur ce château. Suivant un chemin empierré après la mise en place de la canalisation du gaz dans les années 90, ils revoient la bergerie où les moutons bêlent à qui mieux mieux. A Payssas, ils franchissent la Gouarège qui alimentait dans le temps un moulin et que voient-ils ? des poissons qui frétillent : des truites ? des brochets ?....ou ?.... Ils sont sur la route de Cazavet qu'ils quittent rapidement pour monter à la très jolie chapelle du calvaire. Déception : c'est grillagé, ils ne peuvent atteindre la corde pour faire sonner la cloche ! Des grands enfants !!! Le petit vitrail attire leur attention puis, ils descendent le chemin de croix, déambulent dans les rues de Prat, tout en admirant les belles maisons à galerie, et les voici revenus à leur point de départ. La balade a duré 2 h 25 sur un parcours 6km 500 avec un dénivelé de 130 m. D'ailleurs, le temps est vraiment incertain pour le pique-nique, alors, à pied ou en voiture, ils s'approchent de la nouvelle halle. Une surprise les attend : une table carrée avec 4 bancs. Et, tout le monde s'installe et papote mais, au dessert, la pluie tombe plus drue et branle-bas de combat, ils s'abritent sous la halle pour finir le déjeuner avec café, rhum arrangé ....
Vivement jeudi prochain avec le soleil.
Sous un beau ciel bleu, 8 participants partent de la Ferme de Cazalas près de Montesquieu-Avantès, ferme qui propose des chambres d'hôtes, des produits fermiers, des visites .... Ils avancent dans un paysage typique du karst : lapiaz, dolomie, doline, puis descendent dans une faille de la falaise par un chemin très ombragé. Ce sentier débouche sur un paysage plus verdoyant. Après avoir franchi plusieurs clôtures, ils se trouvent sur un pont au-dessus du Volp, fortement à sec en ce moment. Ils rejoignent Bourch qu'ils reconnaissent pour y avoir admiré des orchidées avec le groupe de Saint Pierre le 13 mai dernier. Le chemin du Ratabou les ramène aux voitures tout en admirant sur leur gauche la chaîne des Pyrénées depuis le seigneur Valier jusqu'au pic de la Calabasse et le pic de la Pale de Rase. La balade de 6km 500 avec un dénivelé de 115m a duré 2 heures. Maintenant place au pique-nique avec 2 invités : le neveu de Sophie et sa fille.
À jeudi prochain.
Sous un beau ciel bleu, 7 participants partent de la piscine de Castillon en Couserans, montent un escalier et se trouvent sur la rue principale. Du pont, ils admirent la roue d'un ancien moulin, puis déambulent dans les vieilles rues en pente de ce village. C'est un voyage dans le passé avec des tableaux accrochés au mur. Ils sont interpellés par le rideau anti-mouches fait avec des capsules de bouteille !!! Ils descendent à la centrale de Castillon devant laquelle Patrick donne des explications. Un chemin très ombragé les mène jusqu'au barrage et la retenue d'eau, retenue qu'ils n'ont pas pu voir lors d'une précédente sortie. Ils empruntent la route jusqu'à Salsein. La chaleur se fait un peu sentir. Mais, il y a toujours du soleil et la vue sur le piémont est magnifique. Le village de Salsein les enchante : tous ces balcons fleuris, la fontaine, la mairie .... Enfin, ils descendent toujours par la route qu'ils perdent mais qu'ils retrouvent après une légère erreur d'aiguillage. Lors d'une pause, un panneau avec une photo des années 50 les attire. Le pré existe toujours !!! Jugez-en. Plus tard en contre-bas, ils aperçoivent Audressein et la chapelle de Tramezaygues, très connue pour ses fresques et inscrite au patrimoine de l'Unesco. Sitôt franchi le Lez, ils arrivent à leurs voitures. Comme d'habitude, branle-bas de combat pour installer tables et sièges pliants au bord de la rivière. Et, ils papotent longuement autour des victuailles apportées par chacune et chacun. Cette balade sera proposée ultérieurement avec un raccourci. Le cheminement est facile avec peu de pente. À jeudi prochain.
8 participants partent du stade de Lescure. Il est 9 h 20 et la température est idéale pour randonner. Ils empruntent tout d'abord la voie verte et ils bifurquent avant Baliard à gauche pour monter par la route qui les mème à Canou, un îlot de quelques maisons puis à Teule où une pause photo s'impose. Un sentier monte sur la gauche à travers un sous-bois charmant. Ils passent par Millastre puis, une prairie s'offre à eux avec 2 grands arbres reconnaissables si on veut refaire ce circuit. La vue est imprenable : au nord sur la Tête d'Âne, au sud sur les coteaux de Lescure avec, encadré par des pins, le clocher de Noguès. Enfin, ils arrivent au sommet de la journée à Flourit. Ils descendent par Picaret et l'Escabriche ou Lescarabiche où une belle maison couverte de végétation attire leur attention : c'était une école. D'ailleurs, 3 d'entre eux connaissent un des anciens écoliers. La boucle est bouclée : 7km700 avec un dénivelé cumulé de 200m d'une durée totale de 2h40. Ils arrivent près de leurs véhicules et branle-bas de combat pour sortir sacs et chaises pliantes des coffres, même une table pliante avec tabourets. Ils passent alors un long moment à bavarder tout en dégustant les amuse-gueules, les friandises, les boissons apportés par les uns et les autres. Rendez-vous jeudi prochain.
5 participants partent de l'aire de Sourroque au-dessus d'Eycheil. Il est 9 h 30, l'ombre est fraîche, c'est idéal pour randonner. Ils empruntent le sentier des Hadas (fées), sentier parcouru en août 2021. Ce massif de Sourroque est un véritable gruyère karstique où les gouffres, les résurgences, les pertes des ruisseaux, les forêts de résineux mais surtout les hêtraies en font un monde fantasmagorique, irréel quand les mousses, les lichens et les pierres s’entremêlent. La balade est ponctuée de pauses pour admirer l'entrée des gouffres Barroti, Bysnès et du majestueux Mourères. Ils se sentent une âme d'enfants devant les devinettes proposées. D'ailleurs, la première était accrochée au tronc tortueux de cet arbre. Ils lèvent les yeux depuis l'entrée du dernier gouffre : un pont de singe ! Vite à l'attaque et ils grimpent à l'assaut de ce pont.
La décision est prise de revenir par le même chemin et ils sont toujours aussi envoûtés par cette nature si silencieuse, pas un oiseau ou presque, cela en devient même angoissant. Ils reviennent à l'aire de pique-nique avec ces belles tables de marbre qui les attendent. Il fait presque frais. Ils partagent alors un bon moment de convivialité après une balade de 2km300 avec un dénivelé de 100m qui a duré plus de 2 heures. À jeudi prochain pour de nouvelles aventures.
12 Isards en ce jeudi 7 juillet se retrouvent le matin à Montgauch. Il est 8h45. Ils empruntent un large chemin propice à la conversation, bordé de noyers et situé sur une crête qui leur permet d'avoir la vue des deux côtés. Puis, ils traversent un pré avec une belle vue sur Cazavet et sur la butte où se trouvent les ruines d'un castrum. Ils virent de bord et retrouvent une route goudronnée avec vue sur Montgauch. Un houx avec des magnifiques boules rouges les interpelle. Pourtant, Noël est dans 6 mois ! La planète se réchauffe mais quand même .... Il est encore trop tôt pour l'apéro. Alors, ils font un détour pour voir l'église de Montgauch. Elle est du XIème siècle avec une corniche extérieure inspirée des bandes lombardes. Elle est intéressante par ses fresques mais des travaux de restauration les empêchent de les admirer. Ils retournent à leurs véhicules d'où ils extirpent fauteuils pliants, chaises pliantes et un cabas .... de serviettes de plage ? Nenni ! Le pique-nique ! et ils s'installent tous en rond. Vin de noix, vin rouge, rhum arrangé, gâteaux agrémentent ce bon moment de convivialité. Michel n'est pas là, mais Sophie a son carnet de chants et tout le monde chante !!!
Mais, il faut se séparer après une boucle de 6km600 avec un dénivelé de 115m.
Malgré la météo incertaine, 9 Isards se retrouvent à 8h30 et accueillent un nouveau participant : bienvenue Pierre. Ils vont à Galey pour une rando faite en août 2020. Les pics couserannais sont cachés par les nuages. Cela n'affecte pas la bonne humeur, surtout qu'il ne pleut pas et, parfois la lumière devient plus claire. Y aura t-il une éclaircie? Non, mais il fait bon marcher. Le circuit part de la chapelle du calvaire qui leur servira de lieu de pique-nique. Ils descendent par un chemin ombragé pour atteindre Orchein. Une halte devant l'oratoire et ils continuent cette descente vers Augirein qu'ils traversent, toujours surpris par l'architecture et la décoration extérieure des maisons. Ils prennent le temps de regarder les anciennes photos accrochées aux murs. Ils remontent vers Galey tout en empruntant de temps en temps le chemin de Compostelle. Il est midi pile, c'est l'heure de l'apéro ! Ils sont justement installés sous le porche de la chapelle. Bon moment de convivialité partageant saucisson, vin, gâteaux ...
et pour finir Michel entonne "Fleur d'épine". Une dernière photo, tout le monde repart et retrouve la pluie à Saint Girons. La balade de 5km700 avec un dénivelé de 260m (la pente de la remontée était douce) a duré 2h40.
10 Isards sont ravis de retrouver leurs 2 animateurs. Comme le jeudi précédent, la randonnée débute le matin à la fraîche et le soleil. Ils se garent au-dessus de Touron près de Rivèrenert à côté de cette fameuse boîte aux lettres faite de ferrailles. C'est une sortie à la Tête d'Âne faite en janvier 2020. Il y a plus de fougères. C'est le même circuit mais dans le sens inverse avec un départ différent.
À 09h00 donc, ils attaquent la montée de 30 minutes de ce petit sommet. La vue y est toujours aussi superbe, au sud sur la chaîne Couserannaise et au nord, sur la plaine avec le Montcalivert en premier plan. La descente permet de rejoindre par un sentier ombragé la route. Michel nous chante "Le refuge". Maintenant, il faut remonter aux voitures et la pluie menaçante devient plus drue. L'idée de pique-niquer est alors abandonnée. Sur le chemin du retour, le soleil revient et des tables les attendent au Pont du Nert ! Moment convivial, sympathique tant et si bien qu'ils ont du mal à se quitter !!! Vivement jeudi prochain !
Ce jeudi 16 juin, nous décidons de randonner le matin. En effet, il est prévu pour l’après midi des températures frisant les 40° ! temps à ne pas mettre un randonneur sur un sentier !
Donc à 09h00, nous nous retrouvons, 10 Isards, à Ercé et nous suivons notre guide d’un jour avec l'agréable odeur de l'herbe fraîchement fauchée.
Nous longeons le Garbet dans la bonne humeur habituelle et après un sentier en tunnel, nous arrivons à un pont. Quelques photos et nous prenons le chemin du retour.
Après un rafraîchissement chez Michel, nous rentrons à Saint-Girons nous mettre à l’ombre !!!!!
La parole est à Robert.
Ce jeudi en l'absence de nos accompagnateurs habituels, nous sommes une dizaine à retrouver Véronique devant la mairie d'Allières.
Nous avons fait un parcours de 5 km sur des sentiers ombragés, nous reconnaissons des lieux que nous avions déjà fréquentés en octobre 2019 et que nous avons revus avec plaisir, certains se sont même régalés avec des fraises des bois.
À noter l'ambiance potache du groupe très enclin à chanter des chansons légèrement paillardes !!!!!
Bien sûr, notre ami Michel nous a ravis en nous chantant une très jolie berceuse basque.
À jeudi prochain....
Ce jeudi 2 juin est encore un jeudi pas comme les autres. En effet, 6 Isards de Saint Girons se retrouvent au lieu habituel. Voici le reportage d'une participante. Merci Édyth.
Nous étions 6, ce jeudi 2 juin 2022, à nous retrouver pour une rando-santé improvisée, orphelins de nos chers accompagnateurs habituels…..
Très rapidement, nous nous sommes rangés à la proposition de Josée et Michel : marche à l’ombre, le long du LEZ.
Nous sommes donc partis du parking habituel, pris l'avenue Fernand Loubet et dès que nous avons dépassé les HLM de Sierres, nous étions entre le Lez et le canal qui alimentait les papeteries Matussière et Forest. Marche tranquille, au frais ! Nous avons atteint la carrière ( en activité ) et vu l’extraction du marbre antique d’AUBERT. Nous sommes allés jusqu’à la boutique d’exposition, admiré les quelques œuvres présentées et après une petite halte pendant laquelle nous avons fait un selfie en essayant d'être tous sur la photo !! Nous avons repris le même chemin pour le retour. Nous avons passé un bon moment.
Pas de dénivelé, mais 8-9 kms tout de même !
Ce jeudi 26 mai n'est pas un jeudi comme les autres. En effet, le programme est d'aller admirer la cascade d'Ars, qualifiée de randonnée familiale. 10 Isards de Saint Girons se retrouvent au lieu habituel mais à 11 heures, direction Aulus les Bains où les attendent des tables et bancs. Après le pique-nique, ils commencent tranquillement leur randonnée en suivant la route forestière au milieu d'un bois de hêtres jusqu'au pont de l'Artigous sur l'Ars. Ils ont entrevu la cascade. Voici les 2 animateurs avec des T-shirts qui rappelleront des souvenirs à certains d'entre vous. Maintenant, passons aux choses sérieuses : ils sont sur le GR10. La montée en quelques lacets les mène au premier point de vue sur la cascade. Haute de 246m en 3 étages successifs, elle se gorge d'eau à la fonte des neiges en mai-juin; elle est impressionnante. Le Comte de Russel, célèbre pyrénéiste du 19ème siècle la plaçait en tête de toutes ses rivales. Une des plus belles cascades des Pyrénées ! La voir, c'est bien mais de plus près c'est mieux. Et, voilà nos cabris, non, nos isards qui continuent à monter et arrivent au pied de la cascade. Les plus téméraires essuient quelques embruns !!! Qui aurait dit il y a plus de 3 ans qu'il serait possible d'aller à cette cascade, un jeudi? L'assiduité, la volonté et la forme acquise au cours de ces mois et années ont permis cet exploit. Bravo Baya, Chantal, Édyth qui découvraient ce paysage, plus particulièrement Geneviève. Et, aussi bravo Jackie, Madeleine, Michel et Robert. Donc le dénivelé était de 520m, la distance totale de 10km et le temps de marche 4heures entrecoupées de pauses. Pour plus de précisions : 5km à la montée en 2h15. A la descente : 1h45. Bravo! Les prochaines randos seront plus douces, promis !
Jeudi 19 mai, 12 Isards se retrouvent avec leur animatrice à Seix. Ils passent devant l'église à un mur clocher et commencent leur balade le long du Salat sur un chemin très ombragé. La fougue du Salat les interpelle, le courant est impressionnant et de plus la rivière frôle le chemin. On pourrait presque dire qu'ils ont fait une aqua-rando !!! Pour information, le Salat de 74km de long prend sa source, 6 km en amont du hameau de Salau, Il s'appelle aussi dans cette partie haute le Ruisseau de Bégé. Il se jette dans la Garonne près de Boussens. Nos Isards atteignent une route goudronnée et une longue pause leur permet de récupérer tout en dégustant des gâteaux. Allez encore un petit effort pour atteindre Esteiches qu'ils traversent puis ils descendent par un chemin herbeux et ombragé. Il y a peu de temps les terrasses étaient cultivées. Que voient-ils sur les côtés ? Des orchidées : orchis pyramidal, homme pendu, orchis bouffon et même des céphalantères !!! Surprenant sur une longueur de quelques mètres !!! Ils reviennent à Seix au bout de 2h40, 6km500 avec un dénivelé cumulé de 170m. C'était une belle balade sans la ballade de Michel !!!
En ce vendredi 13 mai, les 2 groupes "Rando-santé" de BSL se sont retrouvés devant la mairie de Montesquieu-Avantès pour découvrir ou redécouvrir les orchidées. 15 de Saint Girons et 18 de Saint Pierre : cela fait une belle troupe !
Allez vite voir à la rubrique : REPORTAGES :
Rando santé
Rando santé Vendredi
Des merveilles vous attendent.
Des nouvelles de Saint Girons :
-Le jeudi 21 avril, la sortie est annulée à cause de la pluie.
Le jeudi 28 avril, Josée a emmené 3 autres Isards de Saint Girons accompagnée de Véronique et de William sur le sentier à Saint Lizier "un chemin, une école", chemin des gabats rebaptisé le chemin des blaireaux. C'est un circuit bien connu des licérois. Les accompagnateurs habituels ont le covid !!! Cependant, Sophie assiste de loin au départ. Donc, photo de groupe !!! Bon retour parmi de Christelle.
Le jeudi 5 mai, 11 Isards ont rejoint Patrick et Sophie au parking habituel.
Ils partent vers Rivèrenert qu'ils traversent, prennent une route en lacets sur la droite qui les mène au lieu-dit Forgues d'en Haut. La balade de ce jour est un aller et retour sur la route. Des orchis poussent sur les bas côtés, c'est un avant goût de la prochaine sortie. Ils arrivent alors à un autre hameau, Les Abères, terminus de la route. En arrivant, les verts pâturages surprennent au milieu des bois de hêtres centenaires. Il est très agréable de déambuler dans ces ruelles, de voir une étable au milieu de cette dizaine de maisons. Et, les voilà en train d'imaginer d'y passer une nuit !!! Pause obligée : distribution de gâteau, ballade de Michel (Il est un coin de France) enfin Patrick explique l'histoire de cet endroit avec des plans à l'appui. Un gisement de galène argentifère a été exploité aux Abères par les Gallo-Romains. Son exploitation a repris au début du XXème siècle sous l’impulsion d’Albert Simon (famille Simon qui a exploité la mine de cuivre d’Alzen et Montels). Sans être importante, l’activité s’est poursuivie de façon épisodique jusqu’aux années 1950. Une inscription les interpelle : en effet jusqu'au début du XXème siècle, on écrivait 7bre pour septembre, 8bre pour octobre, 9bre et Xbre. Cette maison daterait du 4 novembre 1831.
Les Isards reprennent le chemin de l'aller, quelques gouttes de pluie les accompagnent vite évaporées avec le retour du soleil. La balade de 6km800 avec la visite du hameau, un dénivelé de 250m a duré en tout 2h20. On pourrait presque rebaptiser ces sorties du jeudi "un chemin, une histoire" !
Le jeudi 7 avril, Véronique a emmené 12 Isards de Saint Girons pour une boucle de 6km partant de l'école de La Bastide de Sérou. Boucle d'un dénivelé de 185m. qu'ont bien aimée les participant(e)s. Merci Véronique.
Le jeudi 14 avril, 14 Isards ont rejoint Patrick et Sophie à la centrale de Castillon.
Ils longent toute la retenue du barrage, vue appréciée grâce au peu de feuilles aux arbres. Notre troubadour est présent. Il entonne la ballade "La jeune bergère" puis "Le temps des cerises" repris en chœur. À hauteur d'Aulignac, ils retrouvent Patrick, chauffeur des chauffeurs !!! En effet, il s'agit d'un aller. Les voici au-dessus de la chapelle d'Aulignac vue de plus près lors d'une autre balade. Sur le chemin, ils découvrent leur premier orchis mâle. Ils sont si bien à Salsein d'en Bas qu'ils attendent patiemment leurs véhicules. Encore un bel après-midi et cette bonne ambiance amicale. Attention, le covid va passer !!!
C'était donc un aller de 2 heures de 5km600 avec un dénivelé de 240m.
2 semaines sont passées! Eh oui, randonner sous des trombes d'eau, ce n'est vraiment pas le top. Alors, 15 Isards se retrouvent contents avec un temps magnifique et une température printanière. Ça, c'est le top ! Ils partent d'un parking après Cazavet. Aujourd'hui, c'est une boucle inédite avec cependant des petits tronçons connus. Ils longent le lit de la Gouarège, actuellement complètement sec. Il est vrai qu'à Cazavet, elle se perd et ressort plus loin près de Prat, phénomène observé lors d'une ancienne balade. Ils arrivent à Hider, montent alors sous une voûte de troncs d'arbres recouverts de mousse. C'est magnifique avec les rayons du soleil qui filtrent à travers les branches ! À leur gauche, le ruisseau Hider dévale la pente de cascade en cascade pour leur plus grand plaisir. Comment ne pas résister à s'en approcher et même déranger un pêcheur ? !!!
La lente montée s'achève sur un pont de pierre qui enjambe ce ruisseau et les voilà sur la route. Où vont-ils? À gauche, c'est plus court ou à droite, c'est plus long ? Devinez : à droite. Ils suivent la route qui longe de grandes prairies où paissent des vaches avec leurs petits. Devant ce paysage si bucolique, Michel entonne un hymne à l'Ariège en français. Encore, un bon moment. Merci à tous. Le printemps est arrivé : les anémones blanches colorent les talus, comme les coucous et les lathrées clandestines pointent le bout de leurs fleurs. À la vue des grilles vissées au dessus d'un trou, ils apprennent qu'une galerie de près de 13km serpente sous terre, elle est la 2ème plus longue de l'Ariège. Enfin, ils suivent un chemin qui descend au milieu des buis qui donnent des signes de reprise. Une drôle de maison récemment restaurée les interpelle. Puis c'est l'arrivée à Cazaux et de nouveau les lits des ruisseaux secs. Quel changement de végétation entre la montée et la descente ! La boucle de 7km600 avec un dénivelé de 250m a duré 2h30 sans les pauses.
En ce jeudi 10 mars, 14 Isards retrouvent leur animatrice à la salle de fête de Gajan. Le temps est nuageux mais la température clémente. Ils attaquent le circuit vaillamment avant de franchir un gué non moins vaillamment. Une légère montée et les voici à un embranchement. Le chemin de droite s'appelle le chemin de l'évêque : chemin qui relie Tourtouse à Saint Lizier. Petit cours d'histoire locale : Tourtouse, autrefois, était une possession des évêques du Couserans et avait subi de gros dommages. L'évêque Bruno de Ruade (1622-1645) a beaucoup contribué au relèvement de cette commune, il en fit sa résidence tout en étant évêque de Saint Lizier. Il avait une forte personnalité, entre autres, d'avoir réformé son chapitre à son arrivée. Petite remarque : Bernard de Marmiesse a été un de ses successeurs en arrivant en 1653. Autre personnalité : il a fait édifier le palais épiscopal. Il y a d'ailleurs une rue Bernard de Marmiesse à St Lizier. Plusieurs associations locales se mobilisent pour remettre en valeur ce chemin qui traverse Gajan, Chaumarti, Barjac ...Pour plus d'informations, consulter le site barjac-09.fr et Tourtouse l'épiscopale. (Le cours est fini), ils l'empruntent pendant quelques minutes, le quittent pour bifurquer à gauche. Ils passent alors devant une épave perdue dans ce clair sous-bois, une palombière ... les arbustes commencent à verdir, le printemps arrive et ils atteignent la route. Ah là ,on connaît !!!! Ouf ! C'est le point culminant de la sortie. Malheureusement, les nuages cachent les sommets. Pour la plupart, la descente est connue : Chaumarti et son verger, la mairie de Gajan et les voici au point de départ. La fontaine est tarie en ce moment. Au parking, ils déplient une petite table, y installent "merveilles", cidre et jus de pomme. Le soleil veut profiter de ce moment de convivialité ! La balade de 5km800 avec un dénivelé cumulé de 220m a duré à peine 2 heures.
Quelle belle matinée ensoleillée ! Le soleil, en effet, va suivre les 9 Isards venus rejoindre leur animatrice à Audinac. Certes, des nuages arrivent ! Bof c'est pour le lendemain !!! Ils entament ensemble le circuit, circuit fait le 21 janvier 2021. Rappelez-vous, il y avait alors des contraintes de jauge et ils étaient partis en 3 groupes de 6 espacés de 200 m. Les temps ont changé !!!! Donc, la description du circuit est la même. Et, fidèle à son poste, le seigneur Valier surplombant le Bouirex les surveille. Cependant, les chemins sont plus fleuris : violettes violettes (non ce n'est pas une répétition !!!), violettes blanches, anémones blanches et bleues, jonquilles ... Un ruisseau à franchir qui trace son chemin vers une doline. Une barrière, une petite montée pour enfin descendre le long d'un terrain de cross prudemment : le chemin est schisteux. Et, certaines et certains sont attirés par les chardons secs, des feuilles sèches aussi pour en faire un beau bouquet une fois à la maison. Ils arrivent à Audinac du bas, traversent la route de Montesquieu Volvestre, le quartier La Perdère, retraversent cette route et les voilà sur le côté gauche en file indienne, bien disciplinés selon les directives de l'animatrice sur 100m jusqu'au parking. Cette boucle de 5km400 avec un dénivelé de 200m a duré 2h25, pauses comprises. Et, il manquait notre barde ! Vivement qu'il revienne de la capitale !
En ce jeudi 24 février si ensoleillé le matin mais qui s'est couvert progressivement, 14 Isards se retrouvent sur le parking de la carrière d'Alas. Bof, ils n'ont pas l'air d'être prêts pour partir !!! Enfin, ils entament une boucle qui les mène à la source du Baget après avoir laissé sur leur droite le chemin qui mène à la Tour Sainte Catherine (pour plus de détail, consulter le site Géologie du bassin versant du Baget), puis ils longent le ruisseau Lachein qui émettra des gargouillements plus loin, étant donné qu'entre temps ils l'avaient perdu ! Pendant des centaines de mètres, seuls des cailloux bien blancs prouvent son existence en cas de crues. Surprenant ces puits, ces nombreux vestiges d'instruments de mesure attestant l'importance de l'étude du débit de ce ruisseau ! Maintenant, ils sont dans un autre monde dans un paysage karstique digne Des Seigneurs des Anneaux avant d'atteindre une ferme où les vaches attendent avec impatience l'ouverture des portes pour se restaurer !!! Ils sont revenus dans la civilisation. La traversée de Balagué leur permet une fois de plus de voir cet abreuvoir en arc de cercle et les voilà de retour au parking. La balade de 7km300 avec un dénivelé de 225m a duré près de 3 heures, pauses comprises.
Encore une très belle journée. Les Isards sont 22. Ils font connaissance avec Véronique nouvellement promue animatrice "rando-santé" qui va les accompagner de temps en temps. Le rendez-vous est inédit et la balade aussi. Les animateurs de
St Girons ont encore quelques réserves sous le coude !!! Ils partent donc du parking Trinqué et entament une tranquille montée dans les rues de Claire Colline, quartier bien connu de Saint Girons. Puis, ils prennent un chemin ombragé qui les mène au cap du Tuc. Une vue très dégagée sur leur gauche leur fait admirer la plaine toulousaine et en point de mire, la croix du Montcalivert. Ils sont sur le point culminant de la sortie et leur chanteur préféré qui leur a tant manqué pendant ces 2 semaines entame "Il faut que je m'en aille", ballade reprise en chœur pendant le refrain. Quel bon moment, avec ce soleil, cette vue, cette chaleureuse ambiance !!! Ils rejoignent Pégoumas par un autre chemin et les voilà sur le bitume pour atteindre le point de départ.
Surprise : 3 tables les attendent et que font-ils ? ils s'attablent pour finir les brownies au chocolat de Geneviève. Et, ils bavardent toujours. Bon, allez, il faut partir !!! Merci à tout le monde de ces bons moments de convivialité. La randonnée de près de 5km d'un dénivelé de 140m a duré près de 2 heures.
Encore une belle journée presque printanière malgré les nuages. 16 Isards de St Girons se retrouvent près du cimetière de Lescure. C'est une randonnée qu'ils ont faite un 26 septembre 2019. Au gré des errances dans le hameau de Pobusca, ils découvrent avec stupéfaction, une belle ancre accrochée à un mur. '"Oh, entendent-ils, elle a été délocalisée !". Puis au détour d'un virage, le seigneur Mont Valier se détache au loin. Surprise : des perce-neiges ! Une photo de groupe et les voilà sur le GR 78, plus connu sous le nom de chemin de Saint Jacques. Le chemin étroit à son début s'élargit. Une halte au clocher de Noguès leur permet de se plonger dans le 12ème siècle. La balade de 4km800 avec un dénivelé de 80m se termine au bout de 2 heures. Vite tout le monde plonge dans son coffre de voiture pour récupérer des crêpes, du cidre ... Ils passent alors un bon moment de convivialité autour d'une petite table qui croule sous le poids du goûter improvisé.
Jeudi 27Janvier : quelle belle journée ! Ce n'est pas comme le jeudi précédent ! 13 Isards de St Girons se retrouvent sur le parking du plateau de Beille. Il est midi. Durant les travaux du nouveau bâtiment, des tables avec bancs ont été installées sur la neige bien espacées mais pas trop, car ces Isards vont en occuper 2 ! Moment de convivialité au dessert avec chocolats, gâteau aux pommes, bouchées à la noix de coco...
Un petit café et tout le monde s'ébranle en s'émerveillant du panorama, de la belle neige immaculée et craquante, le ciel d'un bleu ... et le soleil. Le Saint Barthélémy les nargue !!! Ils arrivent au point culminant de la sortie : 1980 m mais non, 1981 m !!! Et oui il faut rajouter 1 m, la neige recouvre presque les tables !!! Un coup d’œil vers le barrage de Laparan et demi-tour pour une photo. Maintenant, c'est le retour à la station en prenant un autre chemin que l'an dernier. Les ombres s'allongent sur la neige. La balade de 6km900 a duré près de 3 heures, pauses comprises avec un dénivelé de 200m et toujours dans la bonne humeur.
En ce bel après-midi ensoleillé après le déluge du dimanche et lundi précédents, 18 Isards de Saint Girons et leurs 2 animateurs se retrouvent devant l'église de Moulis. Ils vont entamer une boucle de 5km700 avec 160m de dénivelé, boucle déjà faite. Se référer au commentaire du 30 janvier 2020 dans la rubrique Reportages. Cependant, aujourd'hui, ils vont la faire dans l'autre sens. Donc, ils passent devant le CNRS et le Métatron, à Legergé, le dépôt de pain est toujours là, ils voient sur leur droite la chapelle de Luzenac et traversent la route. Femmina, la sculpture en marbre antique, attire encore leur regard, le petit pont de l'étang du camping de Luzenac fait rêver et ils entament la montée vers le Pouech. Un chemin sur la droite les mène ensuite à Goué d'en dessous avec une magnifique vue sur Liqué sur la crête. Ils arrivent à Goué d'au dessus, certains font le crochet pour aller voir ou revoir l'entrée de la grotte du CNRS de Goué. Enfin c'est la descente sur Moulis. Surprise : une violette ! Au passage, une géocache leur est montrée. A jeudi prochain du côté de Lescure.
En ce bel après-midi ensoleillé mais frais de ce jeudi 6 janvier 2022, 19 Isards de Saint Girons et leurs 2 animateurs sont joyeux de se retrouver après 3 semaines d'inaction !!!! Les conversations vont bon train et dureront tout le temps de la randonnée. Randonnée qui débute sur la route au-dessus de Rivèrenert près de la fameuse boîte aux lettres en ferraille de récupération qu'ils avaient vue, il y a 2 ans en descendant de la Tête d'Âne. Ils empruntent une large piste en crête qui leur permet d'avoir une vue époustouflante sur la plaine de la Garonne et sur le massif du Valier. Si, on continue on arrive au col de Rille, la Crouzette etc ... Ils en aperçoivent le tracé au loin : une trouée dans le paysage enneigé. Ils sont étonnés de voir un troupeau de vaches noires et sans cornes. Il s'agit d'une race celtique, la Galloway, région du sud-ouest de l’Écosse. Pour plus de précision, consulter le site "lesgitesdespics.com", gîte devant lequel ils sont passés au début de cette balade inédite. Après quelques passages un peu boueux, ils font demi- tour et s'arrêtent à la table d'interprétation, oh surprise : une table et ses bancs les attendent. Ils dégustent avec plaisir les galettes des rois, eh oui, c'est le 6 janvier !, tout en buvant du cidre, jus d'orange .. et surtout tout en écoutant leur chanteur favori interpréter "Les roses blanches de Corfou". Les applaudissements fusent. Quel bon moment ! Merci Michel. Et, que voit-on ? le Montcalivert sous un autre angle. Aujourd'hui, c'est un aller et retour de 2 heures, pauses non comprises, de 5km700 avec un dénivelé cumulé de 140m. Vivement jeudi prochain avec les absents du jour.